Philosophie, devoir 3, l'utilitarisme
Dissertation : Philosophie, devoir 3, l'utilitarisme. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rollingbaby • 22 Décembre 2017 • Dissertation • 575 Mots (3 Pages) • 1 160 Vues
Vanessa Couture
DEVOIR 3
Bonjour, cher collègue, je sollicite ton aide par courriel aujourd’hui, car je suis prise avec un dilemme personnel et je te demande de l’aide.
Pour débuter, mon dilemme est par rapport à l’intervention que je dois faire auprès d’une jeune fille de 4 ans et demie. Cette petite fille se fait battre par ses parents, elle a même des marques apparentes, comme un œil au beurre noir. Lorsque je suis arrivé chez elle, j’ai rencontré les parents ainsi que la petite fille et elle semblait très attachée à ses parents, elle m’a même confié aimer ses parents gros comme l’univers. Ce qui me met en dilemme, c’est que l’enfant aime beaucoup ses parents comme moi-même je peux aimer mes parents, mais dois-je la placer en famille d’accueil pour la protéger de cette violence ou simplement donner un avertissement aux parents et garder cet amour familial. J’ai lu dernièrement sur le philosophe John Stuart Mill , un partisan de l’utilitarisme. .L’utilitarisme est une théorie morale qui prend comme bien ultime le plus grand bonheur pour le plus grand nombre et qui définit le bien moral d’une action en fonction de sa contribution au bonheur général. C’est donc une théorie morale qui a comme but principal la recherche du bien commun. L’utilitarisme favorise l’altruisme et juge la moralité d’une action en fonction du plus grand bonheur du plus grand nombre. John Stuart Mill croit pense que nous ne pouvons pas être heureux si nous sommes les seuls à être heureux en exécutant une action, car nous avons besoin que les autres soient heureux pour pouvoir l’être, il ne faut donc pas être égoïste. Si nous sommes entourés de gens qui sont déprimés et souffrants, il sera alors difficile d’éprouver du bonheur.(utilitarisme de la règle?) En analysant mon dilemme, je crois pense que je devrais placer cette petite fille en famille d’accueil, car frapper un enfant n’apporte pas de bonheur à soi-même et encore moins aux autres personnes de la famille. Une famille doit d’où vient cet impératif? vivre dans le bonheur et pour cela ils doivent idem être altruistes, penser avant chaque action poser si cela amène le bonheur au sain de sa famille. Il est clairement compréhensible que de faire de la violence physique à un enfant n’engendre pas de bien commun .Donc, suite à cette analyse de ce dilemme, en me basant d’une approche utilitarisme et du philosophe Mill, je crois pense avoir trouvé une solution à mon dilemme en plaçant cette petite fille en famille d’accueil. Et la famille d’origine, dans tout ça? Le « plus grand nombre », ça le’inclut… De cette façon, elle ne recevra plus de violence physique, ce qui est néfaste à son bien-être, elle sera avec une famille d’accueil avec des gens altruistes et non égoïstes, qui veillera à son bien et également à son bonheur. Comme Mill je crois que nous ne devons pas être égoïstes et apporter du bien-être aux gens qui nous entourent. C’est une résolution de dilemme un peu simple…
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