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Limer notre cervelle contre celle d'autrui

Synthèse : Limer notre cervelle contre celle d'autrui. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  4 Janvier 2020  •  Synthèse  •  453 Mots (2 Pages)  •  1 095 Vues

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Le voyage ; XXI. « Limer notre cervelle contre celle d’autrui »

Dans cette extrait, Montaigne Présente :

  • Un texte argumentatif
  • Son modèle idéal d’éducation

-Passe par le voyage et L1 « tout ce qui se présente à nos yeux sert de livre                             suffisant » ce qui englobe même les propos les plus ordinaire ex L2

Le voyage ne sert pas à L6 (mode français) mais à L11(humeur /façons pays) → Ce qu’il nous encourage à faire le plus tôt possible et qui selon lui développerait une certaine clarté de jugement alors que les gens de son époque ne voient pas plus loin que le bout de leur nez (L25).

3 exemples :

  1. Il oppose les gens de son époque à Socrate qui se considérait comme citoyen du monde et livrait ses connaissances à tout le genre humain (il considérait qu’au-delà des frontières se trouvait des hommes qui n’étaient pas différents de lui)
  2. Un prêtre qui traite la grêle comme un jugement divin qui se produit sur l’entièreté du monde L34 « les cannibales » (habitant du nouveau monde)
  3. Un savoyard qui pense que le Duc de Savoie est au-dessus du roi de France

Tout ces exemples servent à faire revenir Montaigne sur son envie de nous faire voyager pour découvrir les erreurs et croyances de différents peuples.

Montaigne conclut en disant que la richesse du monde devrait être le livre de son écolier ce qui lui permettrait d’apprendre à juger sainement et à se rendre compte de l’imperfection de ses coutumes et de son jugement.

Le nouveau monde ; XXIII. « Le soin des morts »

Montaigne connait mieux les ruines de Rome et sa langue que celle de Paris. Il dit mieux connaitre le Capitole que le Louvre et le Tibre que la Seine.  

Montaigne confond l’image de Rome avec celle de son père qui sont tous deux morts mais dont il L15 « embrasse et pratique la mémoire ». Il a souvent plus d’affection envers les morts qu’avec les vivants L23.

Dans Rome chaque lui possède une histoire et Molière se plait à en imaginer les parties les plus communes car il serait ingrat de « mépriser les reliques et images de tant d’honnêtes hommes … qui nous donnent tant de bonnes instructions par leur exemple » → exemple qui passe à travers chacune de leurs actions les plus ordinaires.

Dans le dernier paragraphe, Montaigne superpose encore une fois le portrait du père à celui de Rome, en considèrent Rome comme le père de la France et en nous encouragent à continuer de l’aimer.

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