Conseils méthodologiques en philosophie

Philosophie : Méthodologie

Pourquoi : causes, renvoi à refuser l’évidence

Devoir : obligation ou nécessité, légal ou légitime 

On : l’Homme dans son universalité

° INTRODUCTION

-> accroche, relier accroche au sujet

Les sciences et le progrès ont, par le passé, fait reculer la peur en en produisant une vision rationnelle. Est-ce totalement vrai ?

-> s’interroger en partant de la question du sujet puis écrire les questions qui en découlent, qui sont sous-entendues

Avis qui vient principalement à l’esprit : à postériori peur de l’inconnu pas logique.

Est-ce si simple ? Doit-on avoir peur de l’inconnu ?

Questionner les différents termes : peur, inconnu, on, pourquoi et ce qu’ils impliquent dans le problème.

-> définir les termes questionné plus haut en les définissant dans le cadre spécifique du sujet

l’inconnu n’est pas que ce qu’il parait, cela renvoi également à l’imprévisible et l’incertain

-> annonce des questions que l’on va traiter, et annonce de la manière dont on va procéder (ces deux parties peuvent être combinée)

1/ Qu’est ce qu’est vraiment la peur ? : doit-on ou ne doit-on pas n’est pas pertinent car par sa définition même, la peur fait de nous ses objets.

2/ Quel en est le remède ? : une fois le cadre de la peur clarifié, que signifie ‘’devoir avoir peur’’ ? Cela n’est-il pas contradictoire avec le développement des sciences et des connaissances ?

3/ Quand devient elle un devoir ? : Il ne s’agirait pas alors de ‘commencer à avoir peur’ pour bénéficier de la peur en tant qu’émergence d’une conscience et d’une forme de courage.

° PARTIE (Lambda)

-> justifier la thèse de la partie en reprenant les champs de définition liés à l’analyse du sujet

-> convoquer des exemples qui vont étayer la thèse

-> nuances et limites de la thèse, permettant d’ouvrir sur l’axe suivant

CONSEILS :

• utiliser la totalité des 4h
• Prendre le sujet dans tous les sens possibles pour pouvoir en retirer le maximum d’angle d’attaque.
• 3ème partie peut répondre aux deux parties précédentes
• Temps de relecture (notamment pour les fautes)
• On s’assure que nous ne restons pas à la surface du sujet : champs de définition, contenu appuyé sur des exemples, des restitutions des évocations du cours
• Bien expliquer pour ne pas rester dans l’allusion, dans l’anecdote
• Choisir les exemple d’abord parmi le cours puis enrichir si on a d’autres sources
• Chaque partie se propose de montrer et démontrer quelque chose par rapport au sujet
• La conclusion n’est qu’un rappel synthétique (éviter les ouvertures, notamment celles qui se souviennent du sujet que si tardivement)

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