Comment construire un brouillon de philo

Autrui m’est-il étranger ?

1er démarche : Travail de problématisation :

Oui parce que autrui m’est inconnue, je ne le connais pas, je lui suis complètement indifférent, son sors m’importe peu mais certaines personne me sont proches, me sont chers exemple : ma mère, ma sœur, Fatima et moha car on rigole toujours ensemble, on partage des moments, des souvenirs et aussi parce que je les aimes donc je peux distinguer car certaines personnes sont différentes de moi mais elles ne me sont pas étrangers donc autrui ne m’est pas toujours étranger, ces personnes qui me sont chère et à qui je tiens que je crois connaitre mais enfaite si je réfléchie bien, je penser la connaitre mais en vrai je ne la connais pas.

Problème : même ceux qui me semble proche sont peut être étranger. La conséquence appart moi-même je ne connais vraiment personne

mais Est-ce que je me connais vraiment moi-même.

2e démarche : discuter des présupposer du sujet

Implicite dans le sujet et qui ne va pas de soi ? Quand je pose la question autrui m’est-il étranger je pars du principe que l’autre est forcément diffèrent de moi, c’est-à-dire que l’autre se définit par rapport à moi, je suis au centre de tout or bien loin que ce soit l’autre qui se définit a moi est ce que ce n’est pas moi qui me définit par rapport aux autres en clair il faut se poser : suis-je étranger aux autres.

3e démarche : définition des termes du sujet

Autrui c’est ce moi qui n’est pas moi mais qui est comme moi, conséquence : est-ce que autrui est diffèrent, étranger à moi parce que il n’est pas comme moi ou bien il est proche de moi, identique à moi dans la mesure où il est un moi comme moi.

être étranger au sens propre du terme c’est qqln qu’on ne cherche pas à connaitre, qu’on ne veut pas connaitre, auquel on est totalement différent, qu’on ne calcule même pas et donc paradoxalement quand je considère qqln comme étranger c’est que je le considère déjà

Dernière démarche : prend exemple d’un roman

Dans l’histoire du vilain petit canard, Andersen nous parle d’un caneton qui est totalement différent des autres et qui va être discriminé, moqué en raison de ses différences, il est avec les autres mais il n’est pas comme les autres, il est considéré comme un vilain étranger. De ce point de vue bien loin que ce soit autrui qui est étranger a moi, c’est moi qui va être considérer comme étranger par les autres donc ce n’est pas par rapport à moi que les autres se gaugent, se jugent.

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