Marketing MIX
Étude de cas : Marketing MIX. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Jennii Jo • 31 Mars 2020 • Étude de cas • 1 891 Mots (8 Pages) • 583 Vues
DEVOIR MARKETING MIX
- Un portefeuille est équilibré si elle a des activités en croissance (supérieur à 10%).
Les entreprises qui veillent à avoir une entreprise équilibrée ont un instant donné, tous les DAS constituant le portefeuille. Ils sont complémentaires en termes de maturité, de risques et d'équilibre financier.
La croissance est partagée entre tous les DAS, la position concurrentielle est forte et les risques sont faibles. Le flux de fonds net du portefeuille est nul l'autofinancement est obtenu. Cette situation est favorable pour l'entreprise qui envisage l'avenir avec sérénité, si les actions futures sur les DAS prennent en compte la recherche de cet équilibre.
Le domaine d'activité est attrayant si il y a des profits et de la croissance. Il faut que ces domaines d'activité soient compatibles et que le siège ait la capacité à améliorer la performance de certains.
- Une entreprise qui opte pour une gamme courte est sûr d’avoir la meilleur concentration de l’effort marketing car moins il y a moins de produits.
Il y a aussi une diminution des coûts de gestion de stock, la formation des vendeurs est plus simple, l’administration des ventes sont optimisées.
Il y a aussi une vulnérabilité aux manœuvres concurrentielles.
Néanmoins il y a un risque lié à la concentration du chiffre d'affaires sur peu de références et une vulnérabilité à l’obsolescence des produits.
Une entreprise qui opte pour une gamme longue voit une meilleure couverture des besoins du marché.
Une construction d’une gamme autour de produits leaders, il y a plus d’armes contre la concurrence.
Cependant le retour sur investissement est plus long, la maîtrise de l'offre plus difficile pour les vendeurs et le coût de stockage est plus élevé avec un risque de ruptures
- La marque sert à raconter une histoire, à marquer son territoire et à se faire remarquer des consommateurs.
Le packaging doit avoir un aspect fonctionnel visant à préserver le produit.
Le rôle d’un packaging ne se limite pas à son aspect esthétique. La principale fonction d’un emballage est la protection du produit il doit permettre de préserver la qualité du produit et d'assurer un parfait niveau d'hygiène autour du produit, ainsi, le packaging protège le produit du froid, de la chaleur, de la lumière et des chocs.
Le packaging doit aussi faciliter l’ouverture mais également l’utilisation du produit
Il doit convaincre sa cible, assurer une excellente relation client, mais c’est aussi un outil de proximité avec le consommateur et c’est le porte-parole de la marque car il est le support de communication entre les consommateurs et l’entreprise.
Le design quant à lui joue un rôle essentiel dans la distinction de la marque donc de l’entreprise.
C’est la première chose que les consommateurs voit c’est le logo de l’entreprise, sa marque le design de celui-ci doit être irréprochable et correspondre au mieux à l’histoire de marque et au packaging.
- La distribution intensive
L’objectif de cette stratégie réside dans le fait de vouloir rendre présent le produit dans un maximum de points de vente.
Les produits seront donc proposés en hyper et supermarchés, en grandes surfaces spécialisées ou non.
Cela implique un prix du produit relativement faible et un produit qui ne nécessite pas de conseil d’un vendeur.
Le recours à la grande distribution nécessite des moyens importants pour l’entreprise car le référencement des produits dans les rayons est un marché très convoité et donc qui se monnaye.
La distribution sélective
C’est une stratégie qui consiste à choisir un nombre restreint de points de vente en fonction de critères spécifiques comme leur image, leur situation géographique, l’assortiment qu’ils proposent, l’accueil ou la méthode de vente appliquée dans les points de vente…
Le recours à cette stratégie suppose un produit différencié de ceux de la concurrence et dont la notoriété est assez importante.
Le prix du produit doit être relativement élevé et enfin le produit peut nécessiter de conseils personnalisés.
La distribution exclusive
Cette stratégie suppose l’utilisation de points de vente qui ne vendront uniquement que le produit ou la marque de l’entreprise.
Cette forme de distribution nécessite une image et une notoriété très fortes. Les produits sont différenciés et cette différence doit être unique pour le client. Le prix doit être en général plus élevé que la moyenne du marché.
La distribution intégrée
Cette stratégie permet à l’entreprise productrice de cumuler les fonctions de gros et de détail. En effet, elle met en place ses propres équipes et unités commerciales.
Les fonctions de gros sont en général assurées par une centrale d’achat qui regroupe les achats et les fonctions de détails assurées soit par des succursales, soit par des sociétés de vente à distance, soit par des grands magasins…
Cette stratégie permet de maîtriser toute la chaîne de distribution. Cela nécessite des moyens financiers conséquents.
La distribution associée
L’entreprise productrice ou distributrice peut choisir de s’associer avec des intermédiaires distributeurs qui vont assurer la distribution. Cette association se concrétise par l’utilisation d’une enseigne commune. Plusieurs formes d’association peuvent être utilisées comme les chaînes volontaires, les franchises, les concessions, les réseaux agréés, liens entre sites Internet…
L’Oréal peut servie d’exemple pour plusieurs types de distribution.
- Le canal est le chemin parcouru par un produit pour atteindre le consommateur final, tandis que le circuit est l'ensemble des canaux de distribution par les quels s'écoulent ces biens entre le producteur et le consommateur ultime, un fabriquant distribuant généralement ces produits en empruntant plusieurs canaux et circuits à la fois, donc il forme un réseau de distribution dont l'objectif principal est de mettre le produit à la disposition des consommateurs
- Le yield management consiste à maximiser le chiffre d’affaires ou, encore mieux, la marge générée, en jouant principalement sur les combinaisons de variables prix et de taux d’occupation (chambres, sièges d’avion ou de train, place de spectacles, etc.) A l’aide d’une politique de tarification différenciée et dynamique.
Dans ce cadre du yield management, les prix les plus bas sont souvent proposés pour des réservations effectuées très en avance ou au contraire à la dernière minute mais cette pratique peut varier selon les secteurs d’activité.
- Le chocolat connait une faible élasticité avec des ventes annuelles effleurant les 80 milliards de dollars, l’industrie du chocolat ne manque pas de poids, soit près de 4 millions de tonnes de cacao cultivées chaque année.
Et le marché ne semble pas arriver à satiété. La consommation de chocolat a ainsi connu une augmentation de plus de 30 % en 10 ans, du fait notamment d’une demande croissante des pays émergents, notamment en Asie.
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