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Analyse de gestion

Étude de cas : Analyse de gestion. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Septembre 2017  •  Étude de cas  •  4 823 Mots (20 Pages)  •  808 Vues

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Dans ce travail de ce cours de gestion, nous regarderons deux articles du domaine des affaires pour en faire un résumé qui fera ressortir les faits saillants et pertinents de ceux-ci pour en faire une analyse. Cette analyse sera faite à partir de liens concrets tirés de la matière présentée dans deux chapitres différents du cours. Nous terminerons ensuite par une brève critique personnelle.

Le premier article discuté sera « Le maître du jeu ». L’ article est tiré du site « Les affaires.com » et provient d’une parution de la revue « Commerce ». « Le maître du jeu » fait référence à Martin Tremblay PDG de la filiale de Ubisoft au Québec, entreprise oeuvrant dans l’industrie de production de jeux vidéo. En effet, cet article traite du cheminement personnel de monsieur Tremblay mais également des changements que celui-ci a apportés à l’organisation de cette filiale québécoise pour qu’elle devienne le deuxième studio en importance en Amérique du Nord et le plus important studio de Ubisoft dans le monde. On y voit l’importance de l’organisation du travail pour une entreprise qui veut devenir la meilleure au monde et qui veut obtenir le plus grand nombre de produits de qualité par an. Cette dernière ayant été transformée d’entreprise artisanale en une véritable usine de production de jeux. L’organisation de départ était chaotique et beaucoup moins productive. Il était difficile de savoir à quel point les projets étaient avancés. Le mandat de son PDG était clair, il fallait respecter des échéanciers de production et les budgets. L’article nous mentionne que maintenant le travail des employés n’est plus divisé, comme par le passé, par métiers, il est maintenant regroupé par projet. Ubisoft est divisé en équipes de travail semi autonomes qui fonctionnent comme des mini entreprises à l’intérieur d’une grande. « Trop d’organisation peut tuer la créativité » et Martin a su trouver un juste milieu constate Yves Guillemot, son patron. Pour Martin, le bien-être de ses employés est primordial. Avec cette philosophie en tête, il a fait passer le taux de roulement de personnel de 30 à 8% chez Ubisoft. On nous présente également les défis auxquels un gestionnaire doit faire face dans l’industrie de la haute technologie et à quel point les changement sont rapides.

Nous allons maintenant faire des liens entre les concepts vus dans le chapitre huit « Créer des organisations aptes à gérer le changement » et les données fournies dans notre article. Le titre de ce chapitre correspond très bien au contenu de notre article. En effet, il porte en partie sur une entreprise qui fait face constamment au changement rapide dans une industrie concurrentielle toute aussi rapide, la haute technologie. Par le passé, la gestion des entreprises était plus majoritairement de type « classique », structure qui n’ignorait pas la promptitude à réagir. Cependant, de plus en plus, les entreprises essaient de trouver de nouvelles structures et par le fait même de nouveaux moyens d’accélérer leur réactions aux changements. Nous avons lu dans notre article que c’est ce que monsieur Tremblay a fait chez Ubisoft. Il a transformé cette entreprise chaotique peu apte aux changements en une entreprise beaucoup mieux organisée qui s’adapte aux changements plus rapidement. D’une structure par métiers, elle a été réorganisée autour d’unités de taille restreinte. Le travail est maintenant divisé par projet et les employés sont divisés en équipes. Ce gestionnaire a estimé souhaitable, pour gérer le changement, de créer des structures organisationnelles novatrices, des équipes semi autonomes. Alors, il est devient beaucoup plus facile de mener les projets à terme et le faire de façon beaucoup plus efficace et plus rapide. On a moins d’échelons d’approbation, une prise de décision décentralisée et un meilleur esprit d’entreprise. Il est alors plus facile pour son gestionnaire de respecter son mandat qui est de faire respecter les échéanciers et les budgets. Le temps économisé représente des sommes d’argent énormes. La formation d’équipes permet également de réaliser de meilleurs produits car la qualité de ceux-ci leur sont directement reliés. Pour s’assurer du bon fonctionnement d’une structure d’équipe, la direction doit fournir des mécanismes de soutien organisationnel. L’article nous démontre par exemple que Martin Tremblay mets l’accent sur des politiques favorisant le bien-être des employés et de la communauté de l’entreprise, comme nous démontre le taux de roulement de personnel qui est passé de 30 à 8 %. Ces politiques aident grandement à bâtir des équipes solidaires et bien soudées.

À la suite de cette analyse, on peut voir clairement que le succès d’une entreprise est étroitement lié à son organisation et cela surtout dans les domaines où les changements sont très rapides. Le succès des mesures prises par Martin Tremblay est impressionnant. Le travail divisé par projet et par équipe est une manière très efficace de mener à terme la production de jeux vidéo. Mais, il est certain que ces résultats sont atteints par des excellents mécanismes de soutient. Monsieur Tremblay, avec son obsession pour le bien-être de ses employés, nous rappelle que le succès passe par les employés et leurs conditions de travail. De plus en plus d’employeurs commencent à être conscient de cette situation. Il est agréable de voir les bons résultats obtenus par des pionniers de cette ligne de pensée tel que Martin Tremblay. Et comme on le mentionne dans l’article, il faut trouver un juste milieu pour avoir une gestion efficace. Aujourd’hui, les structures doivent être constamment en évolution afin d’être le plus efficaces possible et être prêtes aux changements. Car, les entreprises qui n’évolueront pas ne mettent pas seulement leur croissance en péril, mais également leur existence. Les marchés ne sont plus ce qu’ils étaient, le marché est maintenant mondial et la compétition s’accentuera encore plus. La loi du plus fort est en vigueur, il n’y aura plus de place pour les plus faibles.

Le deuxième article discuté sera « Pâtisserie Chevalier ne manque pas d'appétit ». L’ article est tiré du site Internet « Les affaires.com ». Cet article traite de la vision des affaires et des plans futurs de cette entreprise québécoise qui œuvre dans le domaine de la fabrication de petits gâteaux. Cette entreprise est maintenant prête à entreprendre une nouvelle phase d’expansion. Les revenus de Chevalier sont réalisés principalement au Québec, où il détient une part de marché d'environ 10 %. Son grand compétiteur est bien connu : ce sont les petits gâteaux Vachon. Chevalier fabrique

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