BTS CULTURE GENERALE : Le progrès technique accélère le monde, mais les Hommes sont-ils préparés à cette vitesse croissante ?

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MATON

Elisabelle

NDRC1 CPA

Synthese de document

Depuis le début de notre ère les Hommes font preuves d’ingénierie pour améliorer leur quotidien. Nous appelons ça le progrès technique, et, aujourd’hui nous somme à l’une de ses formes les plus avancé. Le progrès technique accélère le monde, mais les Hommes sont-ils réparés à cette vitesse croissante ? Afin d’aborder tout les point de cette question nous nous appuierons sur un corpus composé de quatre oeuvres. La première de Sylvain Venayre parut en 2016 s’intitule « La révolution de la vitesse ». Le second publié également en 2016 par Tristan Garcia s’intitule « La vie intense, une obsession moderne ».  Le troisième document est le recueil de l’interview de Enki Bilal par Frédéric Potet en 2011. Enfin notre dernière oeuvre s’intitule « En voyage, France et Belgique » publié par Victor Hugo en 1837.

Nous verrons dans un premier temps le progrès technique au service du transport puis dans un second temps le le progrès technique au coeur de l’information.

L’Homme a une soif inconditionnelle de la découverte. Alors pour aller toujours plus loin, toujours plus vite il a améliorer ses moyens de transport.

Au commencement comme on peut le voir dans l’oeuvre de Sylvain Venayre, la révolution des transports avait un but plus fort que les autres : la vitesse.

En 1820 on connait la montée en puissances des moyens de transport maritime. Les distances s’estompe petit à petit et chaque cotes se rapproche de plus n plus vite. LA vitesse devient une compétition dans les quatre coins du monde. Il faut aller plus vite et plus loin, chaque minute gagné est une célébration.

En parallèle, le développement des chemin de fer permet de relier les villes d’une même terre.

On parle d’innovation, le progrès technique est au coeur du transport mais également de recors à toujours battre. En même pas 20 ans alors que le records d’altitude est de 1000 mètres, il passe à 3500 mètres, les tunnels atteignent des longueurs prodigieuses.

Le monde n’a plus de frontière nous pouvons parcourir le monde mais cela n’est-ce pas dangereux ?

Victor Hugo d’un premier avis retissant au transport ferroviaire se dit aujourd’hui réconcilié avec les chemins de fers. C’est un art, c’est beau de pouvoir se déplacer aussi vite et les décors se transforment. La vitesse à le pouvoir de faire de nouvelles oeuvres des paysages que l’on rencontre. A pied tout est distinguable, dans un train tout est flou et l’imagination prend le pas sur le réel. Nous pouvons imaginer de nouveaux décors et refaire le monde.

Nous pouvons précisément chronométrer notre voyage, une précision impossible avant.

Un gain de temps et un rendement inégalable : mille voyageurs transportés en faisant douze lieues à l’heure.

Mais cette avancé technologique est à prendre avec pincettes. Aller plus vite oui, mais ne peut oublier l’essentiel, prendre son temps dans ce que nous entreprenons.

Comme le souligne Enki Bilal, nous faisons du surplace au beau milieu de l’accélération. En effet avant nous découvrons le monde en voyageant au quatre coin du monde, aujourd’hui nous visitons virtuellement le monde par Internet.

C’est un nouveau mode de transport en quelques clics, nous pouvons voire des centaines de paysages à des milliers de kilomètres.

Le progrès technique à également bouleverser les moyens d’informations.

Comme nous pouvons le voir à travers l’oeuvre de Tristan Garcia, la vitesse nous fait vivre intensément. Nous cherchons à satisfaire nos besoins, être plus libre et plus en paix.

Et cela passe par nos moyens de communications. Le monde est devenu marketing, comme le dit Enki Bilal nous sommes dans le big brand watching you. En effet Les grandes marques nous observent et nous les consommons. Toute le marketing mis autours de notre vie, consommez intensément, vivez intensément, aimez intensément.

Mais Est-ce l’envie de chacun de sur-consommé ? Nous n’avons pas tous les moyens de se procuré tout ses moyens de communication mais nous en avons tous et le temps utilisé est également inestimable. Nous devons lâcher prise et s’abandonner à ce que nous désirons réellement. Nous allons trop vite et le monde évolue moins vote que les technologie.

Tristan Garcia nous met en garde sur les technologie d’information qui sont aujourd’hui le moyen le plus efficace nous nous faire consommer plus vite.

Nos plaisirs sont intensifiés. Nous sommes nait avec déjà ces envie de plus en plus forte. Vivre pour assouvir ses désirs.

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