Plan marketing - Etudes critiques et glossaire
Commentaire de texte : Plan marketing - Etudes critiques et glossaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Thomas Etienne • 21 Mars 2022 • Commentaire de texte • 1 467 Mots (6 Pages) • 302 Vues
ANALYSES CRITIQUES ET GLOSSAIRE | 08/03/2022 |
Marketing -Le plan marketing
- Prendre connaissance des différents articles/interviews/vidéos et réaliser pour chacun une analyse critique.
- L’intelligence artificielle :
Aujourd’hui, il y a de plus en plus de données que peuvent acquérir les entreprises pour les aider au niveau du marketing. Effectivement, l’IA est une aide précieuse pour pouvoir compiler toutes ces nouvelles données. Le problème auquel ces entreprises font face c’est d’être capable de compiler et de comprendre les conséquences de ces résultats. Dans l’imaginaire collectif une IA est capable de remplacer l’homme, mais de mon point de vue cela reste un outil. Certes L’IA nous permet de voir plus de choses qu’avant et est un outil très complexe. Comme le dit Roman Ptaszynski, l’IA doit permettre de considérer un individu autrement que seulement son âge et sa catégorie social. Nous sommes bien plus que cela, nos centres d’intérêts sont variés, nous avons des passions et des visions différentes.
Je pense qu’aujourd’hui l’IA est une aide indispensable si l’on souhaite mieux comprendre un marché, mais elle reste un outil qui ne pourra remplacer la compréhension humaine.
- Big data et études qualitatives :
Il y a de plus en plus de données accessibles sous différents formats, tel que des questionnaires, des commentaires, des photos et des vidéos. Comme le dit Daniel Bô « Le big quali, c’est cette idée d’être capable d’appréhender des masses de données mais en en ayant une analyse en profondeur ». Je pense que cette phrase résume bien ce changement qui s’opère en ce moment. En effet le problème aujourd’hui n’est pas de trouver des masses de données, il y en a pléthore avec l’explosion du digital, mais de trouver de la donnée de qualité. Cela aura un impact sur les résultats qui par conséquents ne refléteront bien plus que de simple chiffre. Par exemple le fait de récolter des réponses à des questions ouvertes et de pouvoir en faire une conclusion est un changement.
- Les réseaux sociaux :
Aujourd’hui les réseaux sociaux sont une mine d’or pour la récupération de données pour les études de marchés. Je dirais que c’est complémentaire avec un panel classique. Ces deux articles précises bien que l’on ne puisse pas le faire n’importe comment. En effet pour Guillaume David il y a trois grandes règles, la première étant de mixer les sources, la deuxième de faire attention aux conditions de ciblages et la troisième est de faire attention aux recrutements des participants. En effet je pense que cela ne peut se faire sans l’expérience. Il faut avoir plusieurs années de recul pour être apte à proposer ce type de service (market research) sur les réseaux sociaux qui sont en perpétuels évolutions.
- L’incidence de la COVID :
Effectivement e n lisant l’interview de Jonathan Deitch, je me rends compte que la COVID à affecter les market researchers. Mais je pense que ces changements auraient quand même eu lieu dans les années à venir. Le fait est que la COVID a servi d’accélérateur. L’impact sur les études marketings a été fort et il a fallut adapter les outils de tracking et les baromètres. Tout cela est lié aux changements de comportements des consommateurs, mais dans le monde actuel, en perpétuel évolution grâce à la technologie de plus en plus présente et performante, ce changement aurait été inéluctable.
- L’aye tracking :
L’aye tracking est un outil très spécifique, qui je pense ne peut pas apporter de réponse sur tous les comportements humains. Il se focalise que sur un seul des cinq sens, la vue. Les deux exemples qui sont prit dans ces deux interviews sont pour le premier où le consommateur portent son regard dans un magasin, quel produit l’attire par exemple et pour le deuxième de voir où se porte l’attention visuel lorsque l’individu est chez lui. Effectivement tout cela permet de voir de façon factuelle les différents comportements. Je pense que cet outil est très efficace mais ne concerne que très peu d’entreprise. Même si on imagine pouvoir l’utiliser, cela demande beaucoup d’organisation, donc du temps et de l’argent.
- L’irrationalité du consommateur :
L’irrationalité vient de nos émotions primaires, c’est-à-dire que dans certaines situations, nous ne réfléchissons pas. Donc nous agissons et cela est contrôlé par nos émotions. En se qui concerne les consommateurs, cela pourrait être un achat impulsif par exemple. Mais il y a un moyen de changer cela, en fait cela revient à trouver un moyen de modifier ou d’ajuster le comportement du consommateur. Tout dépend de se que l’on veut vendre, une entreprise, une entreprise qui vend des boissons va jouer sur le plaisir, elle souhaite donc que l’motion rentre en ligne de compte, que le consommateur soit irrationnel. Mais si une entreprise souhaite vendre un service ou une idée, par exemple une ONG contre le SIDA, qui voudrait éviter un comportement irrationnel de la population.
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