Etude de la citation "Aujourd'hui les machines sont admirables [...]" de François de Closets.

"Aujourd'hui les machines sont admirables et les visages fermés. Nous avons la technique, il nous manque le sourire."

François de Closets

Si les hommes ne sourient plus c'est bien pour une raison : ils ne sont pas heureux. Ils ne connaissent pas le bonheur, car il sont sous l'effet de plusieurs facteurs comme par exemples : l'inquiétude, le stress ou encore la souffrance. Les machines, nouvelle gloire du monde moderne, n'y sont pas pour rien. Ces dernières provoquent automatiquement ces impressions.

Les machines, maintenant présentes partout dans notre monde font souvent questions d'inquiétudes. Ces dernières, de plus en plus performantes, nous mettent dans un sentiment d'infériorité. Elles nous rendent mal à l'aise et les hommes peuvent développer une certaine crainte à leur égard comme celle par exemple de perdre leurs emplois.

En France, sur la période 1980-2007, le nombre d’emplois industriels a diminué de 36%, soit une perte de 1,9 million d’emplois principalement remplacés par des robots plus rentables.

De même ces outils développent aussi énormément le sentiment de stress. Car les hommes doivent suivre le rythme infligé par ces machines infatigables. Celles-ci peuvent tourner en boucle 24 heures sur 24 ce qui n'est pas le cas de l'homme. Depuis l'invention du travail à la chaine par Henry Ford en 1913 les ouvriers ont étés confrontés à un stress permanent afin de suivre le rythme effrénés des chaines de montage.

Mais encore les machines engendrent la souffrance, en particulier les machines de guerres. Elles sont toujours plus puissantes et précises ce qui cause de grands dégâts dans les guerres comme dans les fusillades. Ces machines certes différentes des autres mais qui en restent ont infligé d'énormes souffrances aux êtres humains. Comme l'illustre la récente fusillade de Newtown survenue en décembre dernier faisait 28 morts dont 20 enfants. Quelle tristesse et souffrances éprouvées par les familles ?

Ces personnes-là sont-elles assez heureuses pour sourire ?

Pour remédier à ces problèmes il existe pourtant des solutions.

Afin de diminuer cette inquiétude et cette impression d'infériorité il faudrait former les ouvriers et les réorientés dans une autre direction en particulier dans celle de programmateurs de ces mêmes machines ce qui diminuerai l'inquiétude liée au chômage potentiel qui les guette.

De même, pour l'effet de stress il existe des solutions. La diminution du temps de travail et l'adaptation du rythme à celui des ouvriers en sont quelques-uns. Mais évidemment ces mesures ne plaisent pas à tout le monde. En particulier aux PDG de ces entreprises qui voient par là une diminution du chiffre d'affaire.

Au sujet des armes plusieurs personnalités proposent leur interdiction de vente ou un compromis qui consisterait à prendre des cours et à mieux vérifier la santé mentale des acheteurs. Forcement cela ne fait pas plaisir au lobby des armes.

Mais l'on ne peut satisfaire tout le monde.

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