Cas Brita
Étude de cas : Cas Brita. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Kiran Herzberg • 31 Mars 2019 • Étude de cas • 2 716 Mots (11 Pages) • 823 Vues
Les inondations en France
I – Des facteurs diverses cause d’une inégale répartition des risques qui sont en augmentions.
[introduction de la première partie]
Les inondations sont le phénomène climatique le plus dangereux en France. Pourtant les territoires sont inégalement touchés par le risque d’inondation. Cela est du aux multiples facteurs de risques qui discriminent donc certaines régions à cause de leur topographie et de leur urbanisation. Le nombre de phénomènes submersifs est, lui, en hausse ce qui est une conséquence direct du réchauffement climatique.
[idée principale de la première sous-partie]
Le risque est d’abord lié au milieu naturel, aux débordements d’entités aquatiques qui causent les submersions et à la violence des vagues, violence qui résulte de la vigueur de la pente.
[argument n°1]
Ces phénomènes sont d’abord due à des débordements, à des sorties de lit majeur. Ainsi, en France les inondations en France métropolitaines sont de différent types : les inondations de débordement, les inondations de nappes, les inondations par ruissellement pluvial urbains et enfin les inondations par submersions marines. Ainsi, de fait, ces types d’inondations provoquent une inégale répartition des risques.
[exemple développé illustrant l’argument 1]
Ainsi, en France, les inondations de débordement sont les plus communes et peuvent arriver dans un peu près tous les lieux possédant un cour d’eau. Ainsi on peut citer des lieux plus sujets que d’autre à ces crues comme l’Isère, les vallées de la Marne ou dans les cours d’eau montagneux changeant de taille en fonction des saisons par exemple. Les inondations par remontés de nappes sont plus rares mais on les retrouve essentiellement en Gironde, en Seine-et-Marne et dans le Poitou, les inondation par ruissellement pluvial urbains, elles, sont majoritairement localisé dans les espaces périurbains. Enfin, les inondations par submersions marines ont lieu sur les côtes quand les coefficients de marrées sont élevées. Ainsi elles sont localisées sur la côte Ouest entre le havre et l’estuaire de la Gironde et sur un territoire localisé sur une zone à la frontière des région administratives que sont le Languedoc-Rousillon et La Provence-Alpes-Côtes d’Azure. On peut donc affirmer que les inondations ont lieu dans des territoires bien identifiés.
[argument n°2]
Pourtant, les cours d’eau et la taille des lits ne sont pas les seuls facteurs de risques. En effet, les risques sont d’autant plus important quand la vigueur de la pente provoque un renforcement de la force et de la violence de la vague. Ainsi, les espaces montagneux et vallonés sont particulièrement touchés par des phénomènes submersifs très violents.
[exemple développé illustrant l’argument 2]
Ainsi ces zones sont des facteurs d’aggravations. Les inondations dont nous avons parlé en introduction dans l’Aude ont été aggravées par la pente et une des catastrophes les plus graves a eu lieu en montagne le 14 juillet 1987 et a causé la mort de 23 personnes à cause d’un type d’inondations particulier appelé “ les inondations torrentielle”, ces inondations sont donc localisée exclusivement en montagne qui sont des lieux particulièrement sujets à ce risque.
[idée principale de la deuxième sous-partie]
Au delà du fait que l’orographie a une responsabilité, un des principale facteur de risque vient donc effectivement des constructions humaines. En effet, les inondations ne sont meurtrières et catastrophique sur le plan nationale que si elles touchent des zones habitées. Ainsi les inondations meurtrières en zones habitées peuvent être causées par une mauvais capacité d’absorption de la route due à la bétonisation des sols ou à la rupture d’obstacle à l’écoulement provoquant des vagues violentes et destructrices.
[argument n°1]
Un type d’inondations sont les inondations dites par ruissellement pluvial urbain. Ce sont des crues rapides qui sont donc localisés dans les bassins périurbains. Elles sont liés à un refoulement des eaux due à une saturation des systèmes d’évacuation d’eaux pluviales. La vague peut alors être dangereuse quand l’écoulement est rapide.
[exemple développé illustrant l’argument 1]
Ces inondations ont pus être extrêmement meurtrières et destructrices dans le passé. Ainsi on peut se référer à plusieurs catastrophe en France dont les inondation ayant eu lieu entre les 14 et 16 juin dans le Var ayant causée la mort de 27 personnes et ayant engendré 1 milliard d’euros de dégâts. En effet les torrents de la colline surplombant la ville de Draguignan eurent un débit très important ce qui eu comme effet de saturé les réseau d’évacuation d’eau pluviale. Ainsi la mauvaise capacité d’absorption a provoqué une vague destructrice qui charria des objets lourds défonçants portes et fenêtres et provoquant le lourd bilan que l’on a évoqué ci-dessus. Ainsi la bétonisation du sol est une cause direct de la mort des victimes.
[argument n°2]
Au-delà de la mauvaise imperméabilisation des sols, les constructions humains en zone inondable peuvent être causes de multiples inondations meurtrières. En effet cela met en danger les habitants de ces logis mais également les biens et personnes situées en aval.
[exemple développé illustrant l’argument 2]
En effet, les habitations en zones inondables peuvent provoqué les morts de ces habitants. En effet on peut ainsi prendre l’exemple des catastrophes liés à la tempête Xynthia qui tua 53 personnes en Vendée en février 2010, la majorité habitant en zones inondables. Cela fut prouvé et le maire de la ville de Fautes-sur-Mer fut condamné à quatre ans de prison ferme entre autre pour avoir laissé s’installer des habitations dans ces zones inondables. De plus, régulièrement les morts sont dues au charriage d’éléments ayant constitué des obstacles à l’écoulement comme des voitures ou du mobilier humain. On voit donc bien en quoi le risque d’inondations est lié à l’installation humaine en zones inondables. À tout cela s’ajoute l’augmentation du nombre de phénomène inondable et de leur force ce qui est lié aux activités humaines.
[idée principale de la troisième sous-partie]
Après
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