CAS OBO

ENTREPREUNARIAT                                  

Mythe n°1 : Les entrepreneurs aiment le risque = aucune recherche concluant.

L’entrepreneur va toujours essayer de contrôler l’environnement afin d’éviter un maximum de risques.

Mythe n°2 : Les entrepreneurs sont des visionnaires.

Beaucoup d’entrepreneur démarre le projet avec une vague idée. La vision n’est pas nécessaire. Puisque cette vague idée va se travailler et former une idée clair mais au fur et à mesure.

Mythe n°3 : Les entrepreneurs sont experts en prévision.

Les entrepreneurs vont considérer le futur comme malléable, ils ne sont pas capables de prévoir les bouleversements du marché.

Mythe n°4 : Les entrepreneurs sont des super-héros.

Ce qui distingue les entrepreneurs des autres personnes est, pour les chercheurs, le goût pour le risque.

Mythe n°5 : Les entrepreneurs réussissent seuls

Faux, puisque généralement il y a une personne parmi le groupe du projet qui est plus dans la lumière que d’autres, cependant il y a très fréquemment des associés.

L’entrepreneuriat c’est :

• un processus créatif collectif
• une coopération collective
• créer des solutions pour transformer le quotidien. Que ce soit une grande idée du frigidaire ou la création d’un fleuriste

C’est un processus de création, monétisé ou no, présentant une pertinence sociale. Cela dégage deux notions :

• Actions
• Destruction créatrice (construire du neuf, et en construisant du neuf il va falloir détruire certaines choses, ça bouleverse les codes sociaux, les manières de faire.)

Plusieurs fois, les innovations bloquent à cause des cultures.

L’interpreneuriat est l’entrepreneuriat à l’intérieur d’une entreprise. (ex : Apple avec l’iPhone. L’entreprise existait déjà mais ils ont innovés avec ce nouveau produit)

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Processus entrepreneurial : Logique et principes

Management ou entrepreneuriat ?

• Le management a une logique causal, c’est-à-dire qu’il y a un but défini. Il faudra mettre en œuvre les moyens nécessaires pour définir une stratégie. (ex : Ford à l’époque les matériaux liés à la construction d’une carrosserie était couteux, donc changer de couleur était difficile financièrement, donc Ford a mis en place une proposition de modèle unique et après on pousse le marché à l’achat en développant des outils marketing)

• L’entrepreneuriat est tout autre, puisqu’il dispose, lui, d’une logique effectuale. C’est-à-dire en imaginant des buts possibles qui ne sont pas prédéfini à l’avance ; (ex : compétences dans la cuisine, pourquoi pas monter un restaurant ?) On remarque une flexibilité dans les buts, on part de l’environnement pour construire les objectifs au fur et à mesure. Plus simplement, il faut tout d’abord évaluer les moyens pour ensuite se pencher sur les buts possibles.

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5 PRINCIPES

1. Un tiens vaut mieux que deux tu l’auras

Connaissances et capacités, réseau social, personnalité.

1. Perte acceptable plutôt que gain attendu

L’entrepreneur sait que tout gain investi peut se perdre, il sait que ce n’est pas obligatoirement un bon investissement. Ce qui est dangereux dans la logique du gain attendu c’est qu’on ne peut pas prévoir ce que l’on va gagner à long terme, puisque dans ce cas là un plan financier repose sur l’optimisme, l’espoir et l’imaginaire.

1. Patchword fou

C’est quand on rencontre plusieurs personnes qui rajoutent leur pierre à l’édifice. Chacun apporte ses compétences et cela amène à un résultat qui n’était pas forcément attendu. 

1. Limonade (from lemons)

Mauvaises surprises, se servir de celles-ci pour en faire une bonne chose. (ex : Coca-Cola qui contenait précédemment de l’alcool et de la cocaïne et lors de la prohibition, et Coca a décidé de réagir suite à cette mauvaise surprise et modifier la recette de leur produit et depuis cela cartonne) ou (Stacy’s qui était à la base un food truck mais qui pendant le pic du midi n’arrivait plus à assurer et ils ont mis en place une distribution de leur chips pendant l’attente et finalement les clients était plus conquis par les chips gratuites que par le repas qu’ils payaient. Ils ont donc restructuré leur placement.)

1. Pilote n°5 : Pilote dans l’avion

L’avenir se fait à travers les actions présentes

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        La base : Une équipe et des ressources        

L’équipe se forme d’une ou plusieurs personnes en plein partage, puis en suite une situation se crée et à ce moment-là se dégage un déclencheur puis une idée se créée. De l’idée va se mélanger u une action qui a elles deux vont créer une opportunité. Opportunité va se concrétiser grâce à des parties prenantes qui vont croire en se projet et y investir, ce qui augmenter les ressources du projet. Cependant ces parties prenantes vont apporter quelques contraintes au projet. L’ensemble de ses étapes vont faire de ce projet un projet viable.

Processus entrepreneurial en logique causal (cf schéma)

Dragon Lady : Entrepreneuse chinoise, déplacer en voyage aux USA, et s’est rendu compte d’une chose là-bas, beaucoup de consommateurs de papiers mais peu de recyclage, tout comme un chine (demande de cartons). « Opportunité : business à développer ? » Partenariat avec les déchetteries pour débarrasser celles-ci de ces matériaux. Négo avec les conteneurs pour importation de matière première. Projet : Création d’usines de recyclage. Son projet a abouti puisqu’elle a su tirer parti de ressources qui n’en avaient pas l’air. Mais sinon, elle n’a pas eu l’idée du siècle puisque tout le monde l’avait en tête mais de par sa force et entrepreneuriale elle a réussi à en faire un business.

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