Analyse du marché de l’automobile français en 2013
Commentaire d'oeuvre : Analyse du marché de l’automobile français en 2013. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Dctintin • 8 Décembre 2014 • Commentaire d'oeuvre • 573 Mots (3 Pages) • 772 Vues
Analyse du marché de l’automobile français en 2013 (VP et VU)
En pleine reconstruction d’après guerre, le marché de l’automobile démarre sur les chapeaux de roue, cependant celui-ci cache bien son jeu. En 2013, il atteint des scores record désastreux de ventes et de fabrication. Cependant, nous possédons quasiment tous un véhicule.
I) L’OFFRE
o Quantitative
En France, sur 10 voitures vendues, 9 sont issus de groupes français.
Avec des parts de marché correspondant à :
- Pour les VP : 53.4% pour les constructeurs français et 46.6% pour les constructeurs étrangers.
- Pour les VU : 66.4% pour les constructeurs français et 33.6% pour les étrangers.
o Qualitative
Aujourd’hui on peut rencontrer plus d’une soixantaine de constructeurs en concurrence sur ce marché, mais le leader reste PSA (29.5%) suivi de tout prêt par son challenger Renault (23.9%).
Pour se distinguer, les fabricants poussent l’innovation et le design de plus en plus loin (personnalisation de sa Clio, de sa DS3 ou bien de son Opel Adam), depuis peu, certains même n’hésitent pas à explorer de nouveaux horizons qui étaient méconnus il y a quelques années comme les voitures électriques et/ou hybrides (Renault ZOE, Toyota PRIUS).
II) LA DEMANDE
o Quantitative
Avec 2 155 000 immatriculations (soit une baisse de 5.6% par rapport à l’année passée), en 2013, 83% des ménages français sont motorisés, 30% d’entre eux possèdent deux véhicules sur ces statistiques, on constate que 67% d’entre eux possèdent des véhicules Diesel. En France, le prix moyen d’un véhicule neuf acheté est de 23 407€.
On distingue différents types de clientèle : . Particuliers (47.5%)
. Entreprises et loueurs (30.9%)
. VD et constructeur (13.4%)
. Loueur CD : 8.2%
o Qualitative
La légère reprise des achats de particuliers en décembre 2013 anticipant la hausse de la TVA et du malus n’as pas suffi à enrayer la chute des ventes. Cette baisse des ventes est due à la hausse d’impôts, la hausse du chômage et une incertitude économique, cependant le prix des véhicules neufs ne cessent d’augmenter (moins de voitures, mais plus chères).
Le consommateur n’achète plus sa voiture comme il le faisait il y a quelques années, cela lui demande beaucoup plus de temps pour faire jouer la concurrence et ainsi trouver un meilleur rapport qualité/prix. Il n’est plus attaché à sa marque de prédilection.
III) ENVIRONNEMENT
Avec des normes françaises de plus en plus strictes et un MADE IN FRANCE quasi inexistant, on ne cesse de voir les marques automobiles à l’écran ou sur le net. Pour garder pignon sur rue, les concessions sont très présentes lors de manifestations sportives et surtout une présence tous les ans au salon de l’automobile Parisien. Pour certaines
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