Risque ergonomique

1. a) Il s’agit d’un risque ergonomique, car il est causé par des mouvements répétitifs.

b) On parle ici d’une démarche préventive par l’intervention à la source et l’analyse des incidents (entretien préventif). Je crois qu’il s’avère très pertinent d’agir via ce type d’intervention, car cela permet d’éliminer le plus de risques possibles. En étudiant la situation de manière globale, on peut ainsi prévenir même les risques qui nous paraissent anodins et sans conséquences, mais qui combinés à d’autres événements pourraient se dévoiler catastrophiques.et dangereux.

c) La préparation : Il s’agit en premier lieu, d’identifier la personne qui sera chargée de procéder à l’enquête et l’analyse. Habituellement cette personne s’avère être le supérieur immédiat, car il est celui qui connaît le mieux les travaux effectués, les procédés et les employés. Il est celui qui pourra prendre des mesures correctives dans l’immédiat s’il en est nécessaire, car il en détient le pouvoir. Ensuite, il faut établir le moment ou celle-ci devra être effectuée. On considère que l’analyse doit être faite le plus rapidement possible dès qu’un événement accidentel se produit, dans le but de recueillir le plus d’informations possibles avant qu’elles ne soient oubliées ou modifiées. En dernier lieu, il faut déterminer l’endroit où se dérouleront les entrevues avec les témoins. En théorie, le mieux est d’enquêter sur les lieux de l’accident, cela permet aux témoins de pouvoir mieux expliquer et illustrer ce qui s’est passé.

L’enquête : Il s’agit de collecter le plus de renseignements pertinents afin d’être en mesure de comprendre ce qui s’est réellement passé. Les entrevues permettent d’interroger chacun des témoins seul à seul afin d’obtenir la meilleure qualité d’information possible. Il sera approprié de rencontrer la victime de l’accident évidemment, les témoins oculaires ainsi que les autres personnes susceptibles de pouvoir détenir de l’information manquante. Bien qu’elle soit des plus utilisée, l’entrevue n’est pas la seule manière de pouvoir collecter des faits. Le recueil d’indices matériels, la consultation de documents pertinents et de personnes non impliquées dans l’accident, la prise de photos, la réalisation de tests ou de simulations peuvent aussi fortement soutenir l’enquête.

L’analyse de l’accident : Il s’agit d’étudier les causes qui sont à l’origine de l’événement et d’identifier les liens qui les relient grâce aux informations recueillies dans l’étape précédente. Cette analyse est dirigée par la personne responsable du processus d’enquête et d’analyse de l’entreprise, mais elle se doit d’être adéquatement formée étant donné les différentes méthodes d’analyses qui nécessitent des connaissances appropriées. Pour une analyse complète et légitime, il est suggéré d’effectuer dans l’ordre : le tri des facteurs contributifs, la classification des facteurs, l’organisation graphique des informations, la vérification de l’exhaustivité des facteurs contributifs retenus et la vérification des hypothèses dans le cas où l’information recueillie est incomplète ou qu’il subsiste de l’incertitude.

Le choix des mesures correctives : Cette étape permet

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