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Rapport D'étonnement

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Par   •  5 Novembre 2013  •  1 823 Mots (8 Pages)  •  1 550 Vues

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Mon séjour s’est déroulé à Malaga, en Andalousie, une région d’Espagne ayant une forte identité culturelle, nous sommes parties en colocation avec Inès et Jihane. En Espagne les régions se nomment comunidades autonomas, c’est-à-direcommunautés autonomes. Malaga est la sixième plus grande ville d’Espagne.

À Malaga on parle espagnol avec un petit accent appelé “andalous”, ce qui en général suppose que les “s” finales et quelques suffixes ne se prononcent pas. Dans le centre ville on entend parler l’andalou très souvent. Malaga est une ville très touristique, et apparemment les gens ont l’air habitué à voir des étrangers. La population était très agréable avec nous, toujours prête à nous aider lorsque nous étions perdues. Nous avons pu tout de suite le remarquer à l’aéroport avec les gens qui nous indiqués ou était les taxis. Les espagnols sont d’une gentillesse incroyable hommes comme femmes, On aura rencontré des gens supers ; pas mal d'Espagnols avec qui nous nous sommes liés d‘amitié, je ne sais pas si c’est parce que nous étions trois petites jeunes françaises un peu perdues, mais ils ont toujours étaient très agréables et j’en garderai de très bon souvenirs.

En entreprise je ne peux pas dire que j’ai été étonnée puisque c’était ma première expérience, cependant ça m’a paru étrange que les clients viennent dans nos locaux pour la démonstration des produits et parfois la conclusion d’une vente se faisait en face de nous. Nous travaillions dans une sorte « d’open-space » et tout le monde effectuait plus ou moins le même travail, nos deux supérieurs répondaient comme nous au téléphone et nous faisions les mêmes tâches. On ne pouvait pas facilement voir le niveau hiérarchique de chacun, mais on pouvait le deviner. Nos supérieurs ne s’habiller pas forcément comme des commerciaux en costard et cravates. De plus, a cause de problème de transport, un jour nous sommes arrivées a 9h15 au lieu de 9h, nous nous sommes excuser de suite, et eux ne c’était rendu compte de rien. Les retards en Espagne ça les connaient bien.

D’ailleurs pour les transports, il est très facile de rejoindre Malaga puisqu’il y a un aéroport à quelques kilomètres de la ville. Il y a des correspondances directes pour Paris. Pour se déplacer à Malaga il y a des stations de métro un peu partout en construction, mais il y a aussi la gare qui passe de l’aéroport, au centre et aux villes alentours.

Sinon tous les jours nous prenions le bus, nous avions acheté une carte de bus à 40€ par mois, les trajets étaient illimités et il fallait l‘acheter cette carte dans des bureaux de tabacs. Le bus passe environ toutes les 20 minutes pour toutes les directions. Aux arrêts de bus, il y a un panneau d’affichage qui indique à quelle heure passe le prochain bus, la ligne et la direction, c’est pareil dans le bus, il y a un texte qui défile et qui indique le nom du prochain arrêt. Le bus passe en « nocturne » à partir de 23h en semaine et 00h le week-end, le soir aussi nous prenions le bus.

Aux arrêts de bus on peut aussi remarquer le respect que cette population a les uns envers les autres, lorsqu’une personne arrive à un arrêt de bus elle « fait la queue », le premier arrivé est le premier à monter et ainsi de suite. Au début, nous étions très surprises et une dame parlant un peu français est venue nous expliquer qu’en Espagne il fallait faire comme ça. C’est sur que c’est très différent, en France quand on voit tout le monde se pousser afin de monter dans le bus. Ils sont respectueux au niveau des femmes enceintes ou des personnes âgées, ce sont des valeurs qui restent en Espagne tandis que cela disparait de plus en plus en France.

Pour les virées nocturnes, quand nous étions trop fatiguées nous prenions le taxi: les prix sont relativement abordables (environ 1 euro le kilomètre). Au début lors de ces sorties nous partions vers 22h en ville alors que les espagnols n’avaient pas encore mangé. Nous n’avons pas de décalage horaire avec l’Espagne et pourtant nous avons un rythme de vie très différent du leur, et nous avons mis du temps a nous habituer, surtout avec l’heure des repas. Nous nous levions vers 7h, et ne déjeunions qu’à partir de 15h tandis que les espagnols ne se verraient jamais déjeuner ou souper à 12h et 20h comme en France, leurs heures sont beaucoup plus tardives.

Comme pour l’ouverture des magasins, TOUS les magasins sont fermés entre 14h et 17h, ce que je ne trouve pas vraiment très pratique. Mais bon, c'est l'heure de la siesta paraît-il. Il y avait dans les discothèques et dans les bars/restaurants des distributeurs de cigarettes.

Comme on ne pouvait pas faire les magasins, on mangeait. Dans les supermarchés, les prix des denrées alimentaires sont équivalents à ceux pratiqués en France, nous allions dans les Mercadonna, ou à Liddl qui était plus proche de chez nous. Dans les magasins « supermarché » rien ne m’a vraiment étonnée à vrai dire, peut-être le fait qu’il y a plus de sorte de sodas type Seven Up aux goûts différents ou les fruits et légumes qui étaient magnifiques mais avec un pareil climat ce n’était pas étonnant.

Dans le centre de Malaga ou aux alentours de la plage c’est facile de trouver des endroits où manger pour pas trop cher. Les fameuses tapas sont un peu chères par rapport à la quantité. De plus,

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