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Machiavel

Analyse sectorielle : Machiavel. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  21 Septembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  555 Mots (3 Pages)  •  695 Vues

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Comment le texte est-il construit ?

D'abord Machiavel commence par exposer un avis qui n'est pas le sien, qu'il va ensuite critiquer en s'appuyant sur une comparaison. L'opinion qu'il critique c'est le fatalisme qui affirme que les hommes ne doivent pas chercher à comprendre ou à changer le cours des choses parce que cela les dépasse et qu'il doivent seulement essayer d'accepter ce qui leur arrive.

Les stoïciens (courant de pensée) défendent une forme de fatalisme non religieuse en disant que les évenements qui nous arrivent s'enchainent de manière très stricte sans qu'on puisse les modifier. Et face à cela la sagesse consiste à accepter son destin de manière à vouloir ce qui nous arrive.

Bilan : l'idée de Machiavel dans son texte est que le fatalisme qu'il soit religieux ou athée ne correspond pas à la réalité. Il admet parfaitement qu'il y est une part imprévisible dans les événements qui nous arrive mais il pense contre le fatalisme que rien nous oblige à subir le cours des choses. La nature nous laisse bien une part de choix et de libre-arbitre. Par exemple rien oblige celui qui voit sa maison détruite par une innondation à accepter son destin en la reconstruisant au même endroit en priant que le fleuve ne déborde plus.

Conclusion de Machiavel : Ce n'est pas parcequ'il y a de la fatalité que le fatalisme existe, c'est l'inverse. C'est parce que les hommes sont fatalistes et renoncent souvent à comprendre et à modifier les choses que la fatalité se manifeste.

II. La notion de libre-arbitre et ses limites ( Descartes 17s)

Pour comprendre la notion de libre-arbitre, il faut d'abord partir de notre définition commune de la liberté. Etre libre dit on, c'est pouvoir faire ce que l'on veut celui qui est privée de sa liberté c'est le prisonnier, l'esclave et le malade qui ne peuvent pas aller et faire ce qu'ils veulent.

1ere question : Est ce que cette définition ordinaire de la liberté fonctionne aussi bien qu'elle en a l'air ?

Dès qu'on l'applique à une situation précise, cette définition ne permet plus de savoir dans quel cas nous sommes libres et dans quel cas nous le sommes plus. Pourquoi ?

Parcequ'il est très rare voire impossible de pouvoir faire ce que l'on veut en raison de toutes les contraintes et obligations qui peuvent limiter. Pour répondre à cette dificulté, Descartes préfère dire que la liberté veritable s'exerce moins dans nos actes que dans les capacités à formuler un choix ou une décision.

« Etre libre » dit Descartes c'est pas pouvoir faire un choix e manière lucide même on n'as pas forcément les moyens de le réaliser. Cest ce qu'il appel le libre-arbitre.

Même le prisonnier, l'esclave et le malade conserve une part de libre-arbitre. En revanche si on suit Descartes celui qui agits sous l'emprise de la passion de l'ivresse ou de la folie perd son libre-arbitre. Parcequ'il perd sa capacité à faire un choix ou à prendre une décision. Au fond pour lui être libre consiste plutôt maître de sois même et donc de ses choix.

2ème

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