TD: les impôts

Maurcot Kevin                                                                                                                               TSTMG

Gisson Alicia

TD ECO

1. Les impôts dits progressif car le taux de prélèvement augmente avec le revenu (impôts sur le revenu) exemple : Les ménages gagnant chaque mois 1 000€ font face à un taux d’imposition de 30%, et ceux qui gagnent 5 000€ s’acquittent d’un taux d’imposition de 50% alors que les impôts régressifs : dont le taux diminue quand le revenu augmente. Exemple : Les ménages percevant chaque mois 1 000€ de revenu paient un taux d’impositions de 50%, et les ménages avec 5 000€ de revenu mensuelle s’acquittent d’un taux d’imposition de 30%.

1. Etre issus des classes moyennes et aisés ont plus tendances à réussir niveau études et ont plus de chances de faire des loisirs. Le graphique montre le taux global d’imposition sur les revenus individuel, il est divisé en 4 classes : classe populaire, classe moyenne, classe aisées, classe très aisées. La moyenne générale des taux d’imposition et de 47%. Le graphique montre que pour les classes populaires le système fiscal est faiblement progressif alors que pour les classes moyennes aux classes très aisées il est régressif car les classes moyennes et aisées ont un taux d’imposition plus élevé (environ 50%) que les classes très aisées (environ 30%). Donc la forme du graphique ressemble à une « bosse » car les chiffres augmentent tout doucement mais diminues progressivement à partir de 47-48%.

1. L’efficacité de l’impôt sur le revenu en matière de réduction des inégalités contribuent à la réduction des inégalités de revenus entre les individus. Les services publics contribuent deux fois plus que les prestations sociales. Les politiques de redistribution contribuent à réduire les inégalités en redistribuant des ressources prélevés sur certains ménages à d’autres. Les prestations sociales vont contribuer plus largement à réduire les écarts entre les niveaux de vie des plus riches et des plus pauvres. C’est également le cas des impôts progressifs ou encore des services publics dont la gratuité participe pleinement à la redistribution. (prestations sociale dont 32% ; prestations familiales 14.5% ; aide au logement 8% ; minima sociaux 7.9% ; allocations personnalisée d’autonomie 1.6%) il y a aussi des prélèvements dont : 17.5% (cotisations et cotisations redistributives  2.8% : impôt sur le revenu 14.7% et la taxe habitation 0%).

1. Le système français repose sur une imposition et une redistribution progressives. La progressivité correspond à des paliers ou tranches de revenus qui définissent le niveau d'imposition ou d'aides sociales. La progressivité de l'impôt signifie que plus les revenus sont élevés, plus on paie d'impôt.
   Or l'impôt sur le revenu est bien calculé en France à l'aide d'un barème constitué de tranches de revenus, chacune associée à un taux d'imposition  croissant avec le niveau de revenu. Tout comme les impôts, les prestations sont également progressives. Cela signifie plus les revenus augmentent, plus les prestations diminuent ou l'inverse (plus les revenus diminuent, plus les aides augmentent).
   A ce titre, nous pouvons donc constater que notre impôt est progressif.

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