Processus de sélection

1. Tel qu’indiqué dans le texte du site internet, En ce qui concerne la cohorte 2007, l’enquête a démontré qu’au moment de faire leurs demandes d’admission en résidence, les médecins DHCEU disposaient d’une information moindre que celle dont bénéficiaient les médecins possédant un diplôme décerné par une faculté de médecine du Québec. Ces derniers avaient été invités quelques mois avant leurs inscriptions à des séances d’information organisées par les facultés de médecine, alors que les premiers n’avaient à leur disposition que les informations disponibles sur les sites Internet des universités et du CaRMS (Canadian Resident Matching Service) qui administrent le processus d’entrée en première année de formation postdoctorale .

Lors de leurs inscriptions à la demande d’équivalence pour la médecine, il pourrait y avoir un lien avec les facultés de médecine du Québec pour l’envoi de documents et de renseignements (les mêmes que les étudiants déjà en faculté de médecine) y compris les dates des sessions d’information. Les étudiants pourraient mieux se préparer au monde de la médecine Québécoise, et pendant le délai de la demande d’équivalence se familiariser avec ce monde continuellement à la demande d’équivalence. De ce fait, les gens auraient plus de chances de réussir l’examen, d’avoir les mêmes données et informations que les élèves en médecine du Québec.

Une fois que la demande d’équivalence serait acceptée, il pourrait y avoir un plus grand suivi pour aider les médecins DHCEU à se préparer au monde de la médecine québécoise.

Tel que nous pouvons lire dans le texte du site internet : « Le processus de sélection expose les médecins DHCEU à des obstacles qui les désavantagent de façon disproportionnée et qui contribuent à leur exclusion des quatre facultés de médecine. En 2007, un processus d’admission administré par les universités prévoyait d’abord une présélection des dossiers dans le but de choisir les candidats qu’on convoquera à une entrevue. Après les entrevues, le comité de sélection dressait la liste des candidatures sélectionnées par ordre de performance. Les universités choisissent alors les candidats qu’ils accueilleront au cours d’un premier tour de placement à partir de cette liste, en tenant compte du classement des candidats et de leur choix de programme. Un deuxième tour, et parfois un troisième tour, permet de pourvoir les postes qui ne l’ont pas été dès le premier tour. Les universités disposent d’une large discrétion dans la détermination des critères d’admission au programme de formation postdoctorale en médecine. Cependant, elles doivent exercer cette discrétion sans discrimination, et ce, à toutes les étapes du processus . »

Il pourrait aussi y avoir l’uniformisation des critères reliés aux processus et le choix des candidats pourrait être fait par un comité impartial avec des critères fixes. Le comité de sélection pourrait aussi devoir soumettre leur choix à une firme externe qui s’occuperait de vérifier les données et les choix du comité afin que les choix soient uniformes (impartiaux). Il pourrait aussi y avoir un programme d’accès à l’égalité pour les groupes sous-représentés pour permettre aux médecins DHCEU d’avoir plus de chances de pouvoir être sélectionnés pour le programme.

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