L’urbanisme commercial

I/ L’urbanisme commercial :

A. Definition :

Au cours du temps on a une demande des consommateurs qui s’est modifié et forcement de nouvelles formes de commerces sont apparus. (1958 ouverture du premier supermarché en France, ensuite il a fallut attendre 1963 pour l’ouverture d’un hypermarché, 1969 premier centre commercial 4300 à Nice. )

Entre ces années un grand désordre entre tout ces types de commerce, qui provoque la peur des petits commerçants.

Le législateur décide donc de réguler cette transformation économique à travers un cadre juridique.

Il donne donc la définition d’un cadre juridique et de règles d’aménagements des villes autrement dit l’urbanisme commercial.

Définition et enjeu de l’urbanisme commercial

Il y’a plusieurs facteurs qui font le succès des rues piétonnes : L’emplacement, la concertation entres les habitants/ commerçants, de l’implication et du professionnalisme des commerçants que ce soit à travers l’assortiment (adapté, qualité de l’accueil, vitrines, services et horaires d’ouvertures… )

B . Les ensembles commerciaux

Un ensemble commercial regroupe plusieurs zones commerçantes spécialisés ou nom indépendant ou succursalistes.

Il existe un conseil national des centres commerciaux.

Le conseil national des centres commerciaux définit un centre commercial comme un ensemble d’au moins 20 magasins et services totalisant une surface commercial utile minimale de 5000 m².

On a aussi les parcs d’activités commercial, c’est un ensemble commercial à ciel ouvert réalisé et gérer comme unité.

Sa surface est > à 3000m², c’est une surface SHON. Terme remplacé par la surface de plancher.

Les grands parcs d’activités commercial : Leur surface SHON est > à 10 000 m², et ensuite on a les petits ( PPAC ), entre 3000 et 10 000 m².

Aujourd’hui il faut réinventer le métier de commercial, on a un véritable défi du positionnement, on a eu beaucoup trop de centres commerciaux non différenciés, donc le défi est d’avoir des centres commerciaux identifiés.

Défi du cross canal : Aujourd’hui même si le client peut utiliser différents canaux, il faut qu’ils soient complémentaires.

Pour lutter cette désertification dans les années 80, les pouvoirs publiques se mobilise : en 92-93 on a l’opération renouveau des campagnes. On incite les maires à donner des aides, quand il a des bâtiments libres pour les inciter à en faire des commerces.

1000 villages de France : des grandes enseignes ont participés à ces opérations, intermarché demande a de petites municipalités de s’installer dans des vieux locaux publiques et de les transformer en relais des mousquetaire. ( 200m² ) et des prix supérieurs de 10% par rapport aux enseignes classiques.

SOS village : Initié en 93 par jean-pierre pernault, sous l’impulsion du groupe TF1. L’idée est simple : soutenir l’activité pour pas que les commerces déserte

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