Le système d'inventaire inadéquat et archaïque

Constamment à surveiller les chauffeurs de son équipe. Il veut tout gérer, il surveille tout, ce qui met beaucoup de pression sur ses employés. Ce comportement semble démoraliser les troupes, tel que le mentionne l'ancien chauffeur de la compagnie durant sa déclaration: « nous n'étions pas motivé à faire mieux ».

Les méthodes qu’il entreprend pour motiver ses employés : autorité, suivis strictes et critiques n'ont pas l'effet escompter.

2. Le système d'inventaire inadéquat et archaïque:

Le système d'inventaire est trop souple, tel que l'a mentionné ce même ex-chauffeur. Il est possible, pour les chauffeurs de la compagnie, de contourner celui-ci. Il n'est pas dur de se servir dans les glacières jamais verrouillées pour s'assurer de ne pas manquer de marchandise durant leur tournée, à l'insu de l'expéditeur. De plus, le manque d'innovation dans les techniques d'inventaire permettent ce type de comportement, puisqu'il n'évolue pas et ne s'adapte pas aux problématiques et aux employés.

3. L'inadéquat système de facturation de la marchandise:

Le système de facturation de la marchandise n'est pas adéquat. Puisque ce sont les chauffeurs/livreurs qui produisent les factures aux clients, il est possible pour eux de les falsifier. Ainsi, ils sont en mesure de mettre une partie des profits directement dans leurs poches, tout en comblant le manque de marchandise de livraison dans les glacières non verrouillées (se référer au pint 2).

4. Le manque d'implication du superviseur en place quant à la gestion des inventaires laitiers et du personnel chauffeur.

Ce poste situé entre l'autorité du directeur et de l'expéditeur est sensé superviser les opérations et s'assurer du bon fonctionnement de l'organisation. Bras droit du directeur, il comble son manque d'yeux sur ses équipes alors que celui-ci avance le travail de bureau nécessaire. Le directeur de la laiterie est sensé superviser la production et non pas la distribution. Il doit pouvoir se fier sur cet atout majeur de l'équipe de gestion. Il offre, aussi, une seconde vision de l'entreprise, de son fonctionnement et de sa gestion, afin d'améliorer la rentabilité de chaque individu. Son absence, tout au long de l'étude de cas, démontre une lacune majeure opérationnelle.

3. Formulation des options et évaluation des conséquences:Modifier

Voici l'évaluation des options et conséquences de chacune des problématiques relevées au courant de la précédente section.

a)L'attitude du Directeur Jean Jolivet face à ses employés.

La confiance est une vertu qui se mérite. Il n'est pas aisé en tant que directeur de faire confiance en ses employés, particulièrement lorsque nous sommes rarement sur le terrain avec eux. Dans le cas de la Laiterie de la Rive-Sud, Jean Jolivet semble éprouver certaines difficultés sur ce plan. Toujours sur les talons de ses employés et saisissant chaque opportunité afin de livrer des critiques sur le travail devant plusieurs de ses employé, il en a perdu le respect de ceux-ci. En ne leur laissant aucune marge de manœuvre, aucune autonomie et en ne les consultant pas (« ne nous donnait jamais l'occasion de raconter notre version des faits »), Jean Jolivet crée une toute autre problématique au sein de son équipe: la peur. La réaction de ses employés ne peut que nuire au bon fonctionnement de l'entreprise et au rendement de ses employés. Le directeur doit apprendre à déléguer du travail au superviseur, son subordonné, ainsi qu’à faire confiance à son équipe de travail.

De plus, sa trop grande volonté de tout

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