Le point de vue Keynésien
Thèse : Le point de vue Keynésien. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sã Brîñä • 20 Avril 2019 • Thèse • 1 723 Mots (7 Pages) • 480 Vues
Département : Economie
Exposé :
Le point de vue Keynésien
Plan de travail :
Introduction
- Que dit Keynes?
- Les composantes du circuit économique
- Le taux d’intérêt n’assure pas l’équilibre automatique de l’épargne et de l’investissement
- La monnaie influence le niveau de production
- Les limites de l’ajustement par les prix
- L’état doit réguler la croissance
Introduction :
L'œuvre novatrice de John Maynard Keynes est la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt et de la monnaie (1936). Il y propose, dans le contexte de la crise économique de 1929, des solutions qui s'opposent radicalement à la pensée économique néoclassique (incarnée par voir Adam Smith, David Ricardo et Léon Walras).
Selon celle-ci, les crises doivent se réguler d'elles-mêmes. Elles sont caractérisées par une accumulation de l'épargne, ce qui entraîne une chute des taux d'intérêt et doit encourager les entreprises à investir et à relancer l'économie. L'enlisement dans la crise des années 1930 semble donc contredire l'existence d'un retour automatique au plein emploi. Contrairement aux classiques et aux néoclassiques, John Maynard Keynes considère que l'épargne non utilisée prolonge la stagnation économique, et que l'investissement des entreprises est déterminé par d'autres facteurs importants, comme les nouvelles inventions, l'ouverture de nouveaux marchés, ainsi que d'autres facteurs indépendants du taux d'intérêt. L'investissement des entreprises est donc fluctuant ; il dépend en fait de la « demande effective », c'est-à-dire de la demande attendue par les entreprises. Ces diverses prévisions déterminent le volume de l'emploi offert par les entreprises.
- Que dit Keynes?
Après avoir discuter sur les différents points de vues classique et néoclassiques, nous allons maintenant entamer celui des Keynésien. D’où Keynésien c’est relatif à Keynes ; John Maynard Keynes, l’économiste britannique, qui, en 1936, a réalisé le célèbre ouvrage " La théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie " , a le plus marqué la façons d’analyser la vie économique et de concevoir la politique économique d l’état.
John Maynard Keynes avais pour objectif principal d’expliquer le chômage, qui est dans l’analyse économique néoclassique, le chômage n’a pas à exister. Parceque le marché du travail est naturellement en équilibre, grâce à la flexible des prix c.à.d la variation du salaire, et s’il existe c.à.d " le chômage " , il ne peut être que volontaire,( par exemple : si les travailleurs trouvent le salaire trop bas) c’est le cas par exemple : si les employeurs veulent des travailleurs qualifies et il n’en trouvent pas, les travailleurs non qualifiés eux ne trouvent pas d’emploi.
Alors Keynes n’est pas pour avec cette idée, et il a augmenté ou il a montré que cette idée n’est pas vérifiées si on prend en compte ces différent éléments
- Premièrement en ce qui concerne les mécanismes d’ajustement retenus les Keynesiens sont contre l’idée qui dit que si l’offre existe, elle va créer une demande suffisante pour assurer le plain emploi
- Deuxièmement : que le marché du travail soit un véritable marché.
- Il contesté aussi que le tant d’intérêt soit le prix qui ajuste spontanément l’épargne et l’investissement, et que la monnaie soit neutre.
- Les Keynesiens pensent aussi que l’hypothèse de concurrence pure et parfaite est irréversible sur l’importance de la prise en compte de l’incertitude et du temps dans l’analyse économique.
- Maintenant viennent à la méthode d’analyse dans l’approche de Keynes à la différence de celle des économistes néo-classiques, est d’emblé macroéconomique, il ne port pas de l’étude des comportements des agents économique type consommateur , producteur pour étudier les équations macroéconomiques (revenu, dépense, production au niveau globale) perçue dans une logique de circuit économique, mais cela ne veut pas dire que les comportement individuels sont exclues de cette approche ; comportement d’épargne et de consommation des ménages qui utilise leur revenu et comportement du système bancaire.
- Mais bien sûr ces comportements individuels retenus doivent influencer sur la macroéconomie.
- Une telle démarche va modifier la logique de l’analyse et ses résultats.
- Alors prenant l’exemple du salaire : qui est un élément de cout pour les entreprises mais aussi un élément de la dépense globale effectuée dans un pays.
- Les composantes du circuit économique :
Dans cette approche en termes de circuit il s’agit de cerner comment :
[pic 1]
[pic 2]
[pic 3]
- Le taux d’intérêt n’assure pas l’équilibre automatique de l’épargne et de l’investissement
L’approche néo-classique dit que le prix équilibre l’offre et la demande dans tous domaines.par exemple si le prix d’un bien est moins cher la demande sera élevé que l’offre et faciliter une augmentation de prix de cette bien et vice –versa si l’offre est élevé que la demande le prix ce baisse.
Les variations de taux d’intérêt assurent l’équilibre entre d’épargne et la demande de financement pour l’investir.
Si le taux d’intérêt est élevé il y’aura beaucoup financement pour investir mais si il est faible l’offre d’épargne est réduite.
Alors s’il y a la concurrence parfaite l’investissement est égal à l’épargne.
Tout ca n’est pas le cas pour Keynes, le taux d’intérêt ne peut pas assurer les ajustements précédant. Pour Keynes le niveau de l’épargne est décider par les revenus.par exemple dans un état social donné, le niveau de l’épargne est faible quand ses revenus sont faible et vice-versa veut dire que fort quand ses revenus sont élevés.
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