Le marché du blé

Le marché du blé

1. Depuis 2007 à Paris, l’évolution du blé connaît une hausse ainsi qu’une baisse successive à cause plusieurs facteurs notamment les fortes pluies qui rendent la production de blé compliqué. Le cours du blé à Paris (annexe 3) illustre bien la hausse et la baisse successive. On remarque en milieu d’année 2016 le cours du blé en euros par tonne diminue fortement et est très largement en dessous des 150 euros par tonnes. Le moi d’après elle se rattrape mais cela reste constant. De plus, La France ne représente elle que 5% de la production mondial de blé et 10% des échanges.

2. Ces dernières années nous remarquons une énorme baisse de l’offre de blé. Il faut savoir que 20% de la production mondiale de blé se retrouve sur les marchés et le reste est consommé sur place. En 2016-2017, les exportations mondiales de blé s’élevaient à 163,5 millions de tonnes pour une production de 741 millions. Ils y a deux facteurs importants à surveiller de près : Les plantations concurrente (Ex : Les Etat unis l’un des plus gros exportateurs) mais aussi la météo. Lorsque que la météo est correct on dit que la production est plus que rentable et que l’offre de blé est abondante. Cependant lorsque la météo est catastrophique on dit que la production est beaucoup moins rentable et qu’il y a une baisse de l’offre de blé mais une hausse des prix.

3. L’annexe 1 démontre bien que la variation des prix entre le blé et le maïs modifie les arbitrages réalisés par les producteurs de céréales, car il donne un exemple sur la répartition des plantations agricoles : En 2012 les cours de maïs ont atteint des sommets, du coup les producteurs de céréales ont diminué leur culture dédiée au blé au profit du maïs qui a permis une hausse de +10% des surfaces. C’est ce qui a permis de déduire qu’il y a une hausse possible des cours du blé et une baisse des

cours de maïs.

4. La hausse de prix du blé est principalement liée à l’offre car si l’offre est importante les prix seront normal voir même réduit si la demande est faible, alors que si il y a une chute de l’offre du blé ils seront obligé d’augmenter les prix afin de rendre leurs récoltes rentable à cause des soucis météorologiques.

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