Analyse d'une situation Economique p147 Delagrave 1ere année
Étude de cas : Analyse d'une situation Economique p147 Delagrave 1ere année. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Dàniel Poùrchez • 11 Novembre 2017 • Étude de cas • 585 Mots (3 Pages) • 700 Vues
Analyse d’une situation économique p147
- Les pays ayant donc rejetés leur autosuffisance intrinsèque ont optés pour l’économie de marché, la concurrence et l’ouverture afin d’accroitre leurs créations de richesses. Tous ces pays ont le même objectif, la prospérité et la pérennité économique, pour atteindre cet objectif de prospérité ces pays ont dû exploiter certains leviers selon leurs possibilités :
-Le commerce International : En effet de nos jours, la quasi-totalité des pays du monde se sont ouverts au monde et au commerce, notamment le commerce de bien comprenant les exportations et les importations. Ce commerce permet d’augmentant le ratio du commerce de bien au PIB (la somme des exportations et importations par rapport au PIB) de différents pays tel que la Chine et l’Inde passant de respectivement 33% et 18% en 1996 à 63% en 2006 pour la Chine et 40% en 2008 pour l’Inde. De plus on constate que le ratio commerce de biens par rapport au PIB mondial est passé de 16% en 1995 à 24% en 2012, en d’autre termes les flux (ventes et achats) de capitaux, de biens et de services à nettement augmenté dans le monde et ce grâce à une importante disponibilité de main d’œuvre très attractive financièrement dans les pays émergents. Les ressources redistribuées découlant du commerce de bien permettent à long terme de créer des emplois, donc des travailleurs, qui par la suite deviendrons consommateurs puis épargnant.
-Les IDE ou Investissement Direct à l’Etranger : Les IDE représentent les investissement des compagnies multinationales au sein de pays étrangers, à travers l’acquisition d’entreprises déjà implantées sur le territoire, le développement des activités… Ces investissements représentent aujourd’hui 3.2% du PIB mondial, ils ont notamment permis d’instaurer un transfert de connaissances, de promouvoir l’intégration économique transfrontalière et de mettre en place une forme de financement stables pour les pays non développées ou émergents.
Toutefois tous les pays non-développés et émergents ne profitent pas de ces changements au même rythme, tout dépend également des politiques mises en place, des ressources présentent sur le territoire et du bon vouloir des investisseurs étrangers.
- Les économies développées comme la France souffrent aujourd’hui des innombrables délocalisations de leurs entreprises vers des pays proposant une main d’œuvre plus attractive comme c’était le cas pour la Chine jusqu’à récemment, aujourd’hui le processus se répète, mais ce ne sont plus les entreprise française ou des pays développés qui délocalisent leurs entreprises en Chine, c’est la Chine qui délocalise ses entreprises et effectue des IDE en Afrique notamment.
Les pays développés se tournent donc aujourd’hui vers l’Afrique la Turquie l’Inde pour trouver de la main d’œuvre hors compétition. De plus la France est d’autre pays développés ont une économie très peu orienter sur les exportations. Ces pays-là doivent donc s’adapter et proposer des emplois viables, en d’autres termes des emplois que l’on ne peut pas délocaliser. Les pays développés doivent donc construire leurs économies sur des connaissances, de technologies et savoir-faire dont eux-seuls disposent pour se maintenir à flot en attendant que les majeures parties de pays non-développés et émergents achèvent leur transition économique.
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