Économie du Québec cas
Analyse sectorielle : Économie du Québec cas. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anouchka Poupart • 10 Novembre 2015 • Analyse sectorielle • 3 788 Mots (16 Pages) • 840 Vues
ECO 2011 | [pic 1] |
Économie du Québec |
TRAVAIL NOTÉ 1
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Feuille d’identité
Nom Poupart Prénom Nahomie
Numéro d’étudiant et434428 Trimestre
Adresse 370 rue Melançon, Saint-Jérôme, QC
Code postal J7Z-4K1
Téléphone Domicile 450-432-4042 Travail
Cellulaire 819-274-2365
Courriel j,ries@hotmail.ca
Nom de la personne tutrice Jean Bruneau
Date d’envoi 3 Novembre 2015
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Réservé à l’usage de la personne tutrice
Date de réception Date de retour
Note
Question 1
Tout d’abord, le Québec a vu défiler environ 6 périodes économiques qualifiés d’historiques. Ainsi, plusieurs étapes se succédèrent pour parvenir au développement économique que nous connaissons aujourd’hui. De plus, à certaines occasions l’état dû intervenir pour conserver un certain équilibre et éviter la catastrophe. Le premier recensé fut autour de 1840 soit, l’époque du Québec industriel[1](p.60); à ce moment, l’économie se base d’avantage sur le marché qui se régule de par lui-même. Ainsi, l’état interviendra uniquement afin de faire respecter certaines règles. Le système s’appuiera davantage sur la théorie néo-classique[2](p.14) ou encore le concept de la « main invisible ». Cette économie se fonda surtout sur la vente de fourrures, de produits agricoles et de la coupe de bois, grâce aux richesses naturelles du territoire. Cette période dénote une hausse notable et rapide de sa population et l’arrivé de nombreux immigrants.
Ensuite, une deuxième période se dessine, vers 1879, c’est le démarrage industriel[3](p.63) et le début des produits transformés notamment agricole et forestier. Du au protectionnisme[4](p.63, ligne 15) des états américains et l’inaccessibilité au marché Britannique, le plein développement industriel du pays se voit entravé. L’état voit alors la nécessité d’agir en adoptant une politique nationale favorisant le développement industriel. Comme le stipule Keyne dans sa théorie[5](p.18) à cause de la baisse de la demande (moins d’importations) pour les produits, il en résulte une hausse du chômage,( une baisse de la demande= moins de production et moins d’emplois ). Cette période profitera d’une certaine hausse de la population ainsi que le développement d’un marché est-ouest international.
Si nous poursuivons c’est en 1900 qu’ une croissance industriel [6](p.67, ligne 2)rapide se remarque dû à certains facteurs comme l’abondance de main d’œuvre et l’augmentation de la demande pour les produits et services que la période de guerre (1914-18) encourage ; d’ailleurs le manuel L’économie du Québec [7] ajoute : « l’industrie semble ici se centrer sur les produits transformés comme les pâtes à papier venant du bois et d’autre provenant des richesse naturel qu’offraient le pays. »(p.67, ligne 28) Une forte hausse de la population caractérisera alors cette période qualifié de prospère grâce au retombé économique de la guerre. Le Canada parviendra finalement au statut de pays industrialisé en laissant la loi du marché concurrenciel équilibré l’offre et la demande.
Enfin, la grande dépression[8] (p.68, ligne28) et le crash boursier de 1929; cette période engendre un cercle vicieux qui déboule, comme le mentionne le concept de la régulation[9], en une crise économique grave. Production, emplois, tous basculent et le taux de chômage augmente dangereusement . Comme la théorie de Keyne[10](p.34) le suggère quant le chômage involontaire survient, l’état doit d’agir. Ainsi, certaines mesures gouvernementales et le contrôle de l’argent par la grande banque du pays, sont mise en place afin de renverser cette crise ou du moins, de remettre sont économie sur ses railles.
Finalement, la seconde guerre mondiale[11] (p.72) ramènera la croissance économique avec la production d’armement. Cette guerre éveille l’état qui s’interroge de plus en plus sur sont implication dans le système. Elle interviendra de plus en plus dans l’économie, afin de mettre en place des stabilisateurs économiques[12](p.34) à long terme; certaines lois et mesures seront établies tel que : La création de l’assurance chômage et le programme de sécurité sociale.(p.73, ligne 9)
Pour conclure, l’époque du baby-boom émerge durant cette dernière période appelée aussi « l’ère de la consommation de masse »[13](p.74, ligne 27), celle de l’après guerre 1960-70. Les ressources premières sont en fortes demandes, ainsi que les services reliés au processus d’urbanisation que vit la province. Par conséquent, les salaires augmentent, ainsi que la population et le niveau de vie. L’état s’ajuste et s’implique davantage dans sont économie, il jouera dorénavant un rôle de promoteur (p.80, ligne 10) interviendra de plus en plus à plusieurs niveaux en établissant entre autre des ministère. Le but de ces changement étant de palier les failles et « l’infériorité »(p.81, ligne 8) [14]du système économique québecois tout en supportant la demande effective comme le souligne le bien fondé de sont utilisation dans la théorie keynésienne.
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