Note d'explication sur les risques d’une trésorerie négative et les solutions à apporter
Étude de cas : Note d'explication sur les risques d’une trésorerie négative et les solutions à apporter. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Elodie Aucan • 30 Novembre 2017 • Étude de cas • 367 Mots (2 Pages) • 1 548 Vues
Objet : les risques d’une trésorerie négative et les solutions à apporter
Monsieur Barouin,
A cause de la concurrence que connaît notre marché actuellement, nous sommes dans l’obligation d’accorder des délais supplémentaires à nos clients mais à l’inverse nos fournisseurs réclament d’être réglé au plus vite.
Une trésorerie négative serait néfaste pour le bon déroulement de notre l’exploitation. C’est-à-dire qu’elle pourrait entrainer la faillite de la société si on ne met pas en place des solutions pour subvenir à nos besoins tels que régler nos fournisseurs, payer les salaires…
Toutefois afin de pallier à ce problème majeur, il existe de nombreuse possibilité qui nous permettent de détenir de la trésorerie. Ses possibilités consistent à mobiliser (céder) à un établissement financier (banque) ou société d’affacturage les créances commerciales que nous détenons.
À contrario, nous devrons donner des intérêts et commission à l’établissement financier ou la société d’affacturage qui nous aurait permis d’obtenir de la trésorerie.
Par ailleurs, parmi ses possibilités, nous avons :
La cession de Dailly, c’est une avance de fond que fait la banque à son client en échange de ses créances qui sera diminué d’intérêt.
L’affacturage, consiste à céder ses créances commerciales à une société d’affacturage appelé factor. L’entreprise cédante se voit attribuer le montant des créances diminué de la commission d’affacturage ou de la commission de service et des intérêt (commission de financement).
Pour résoudre nos problèmes de trésorerie, nous pourrions céder nos créances commerciales soit par le biais de la cession de Dailly ou par l’affacturage.
En espérant avoir pu répondre à toutes vos interrogations, veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mon profond respect.
Par ailleurs, parmi ses possibilités, nous avons :
La cession de Dailly, c’est une avance de fond que fait la banque à son client en échange de ses créances qui sera diminué d’intérêt.
L’affacturage, consiste à céder ses créances commerciales à une société d’affacturage appelé factor. L’entreprise cédante se voit attribuer le montant des créances diminué de la commission d’affacturage ou de la commission de service et des intérêt (commission de financement).
Pour résoudre nos problèmes de trésorerie, nous pourrions céder nos créances commerciales soit par le biais de la cession de Dailly ou par l’affacturage.
En espérant avoir pu répondre à toutes vos interrogations, veuillez agréer, Monsieur, l’expression de mon profond respect.
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