Les systèmes d'information de gestion - adm 2006
TD : Les systèmes d'information de gestion - adm 2006. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Minet2001 • 4 Juillet 2017 • TD • 1 670 Mots (7 Pages) • 2 948 Vues
ADM 2006
Les systèmes d’information de gestion
Feuille d’identité
Travail noté 3
SÉRIE _D__
Consignes :
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TÉLUQ
Banque HSBC
1. A) Avec quels problèmes la Banque HSBC a-t-elle été aux prises dans ce cas?
b) Les facteurs :
La gestion :
• La détermination les indicateurs de performances est un élément clé dans ce cas-ci. Il semble y avoir des erreurs dès le départ ce qui semble avoir entraîné la base même du problème.
• Le choix des outils à utiliser (la prise de décision).
• L’élaboration des normes à utiliser pour faire l’analyse.
L’organisation :
• Assouplissement des règles pour consentir davantage de prêts hypothécaires
• Processus pour prévoir combien de prêts ne seront pas remboursés
• aucune vérification ou validation des informations concernant les données fournies (revenus, titre d’emploi) par les emprunteurs
La technologie :
• L’utilisation de la cote FICO destinée aux cartes de crédit n’avait pas fait ses preuves dans le domaine de l’hypothèque et comportait plusieurs lacunes. La cote ne faisait pas la distinction entre ceux qui avait peu ou pas donné d’acompte. Le modèle ne prenait pas en compte si le marché des maisons chutait au point ou la valeur des maisons devenait inférieure au montant dû.
• Logiciel d’analyse experian-scorex (en deuxième lieu)
• WHIRL avait comme problématique d’être trop souple.
c) La direction de HSBC a-t-elle bien cerné le problème?
Il semble que non, car les critères semblent avoir été orientés davantage pour recueillir de nouveaux clients plutôt que de calculer les risques de manière efficace. C’est pour cette raison qu’on y voit des modifications sur les règles – normes (assouplir) ou encore sur le choix de la technologie à utiliser qui permet de qualifier le plus grand nombre d’emprunteurs.
2. A) La Banque HSBC disposait de systèmes d’information et d’outils d’analyse sophistiqués pour prédire les risques que présentaient les demandeurs de prêts hypothécaires. Comment a-t-elle pu se retrouver dans une telle situation?
Dans un contexte de forte croissance du prix des logements, la lutte pour attirer la clientèle semble les avoir poussées à assouplir les règles au point de presque toutes les éliminer. L’appât du gain dans un marché devenu très concurrentiel,ainsi que la surestimation des capacités de son système l’on amener à voir le risque comme une opportunité d’affaires. Il semble avoir ainsi dépassé leur limite.
B) Si elle avait une solution depuis le début, pourquoi ne l’a-t-elle pas appliquée?
Validation des salaires déclarés
Avec l’intensité de la concurrence sur les prêts hypothécaires, HSBC a accepté des lots qui incluaient des prêts basés sur le revenu déclaré. Cette mesure est facilement contournable par les emprunteurs, car il est facile de mentionner un revenu réel supérieur et de mentir sur son poste occupé au sein de l’entreprise. 90 % des candidats ont déclaré des revenus supérieurs à ce qui était indiqué dans les dossiers de l’administration des impôts (60 % augmente le revenu de 50 % ou plus et beaucoup ont exagéré l’importance du poste occupé). Ceci a contribué a consentir des prêts beaucoup trop élevés que ce que les emprunteurs étaient en mesure de rembourser.
Cette façon de faire a largement contribué à mettre HSBC dans cette position peu enviable.
3. A) Quelles sont les solutions sur lesquelles s’est appuyée HSBC pour éviter que le problème ne persiste?
La direction ne semble pas avoir bien cerné le problème. Lorsque l’on regarde les mesures qui ont été choisies pour remédier à la situation, celle-ci ne pouvait pas améliorer ou corriger cette dernière.
Les mesures prises concerne les changements à apporter touchait à la fois le personnel et ses politiques. En ce qui concerne le personnel, la mesure de doubler le personnel pour faire les appels aux emprunteurs en difficulté pour discuter d’un plan de remboursement ne pouvait corriger la situation. L’action à ce moment est tardive et après qu’une mauvaise sélection ait été faite (réaction). La problématique se situe davantage sur le plan de la sélection dès le début. Ce n’est pas une mesure de correction, mais d’atténuation des conséquences. Comme ses prêts sont à très haut risque, rendu à cette étape, il est déjà trop tard pour la plupart des cas en litige. L’utilisation des TI pour déceler les emprunteurs plus à risque revient un peu à la même chose.
Pour la mesure concernant ses politiques, elle a cessé d’émettre et d’acheter sur la base des revenus déclarés et rehaussée la cote FICO exigée. Rehaussée la cote était une mesure minimale, mais comme cette cote n’avait pas fait ses preuves concernant les prêts hypothécaires, la question était davantage; est-ce un outil valide pour le genre de prêt que nous consentons? À mon avis ce point était crucial dans ce dossier.
B) Ces solutions sont-elles suffisantes pour renverser
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