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Diagnostic de l'unité commerciale

Résumé : Diagnostic de l'unité commerciale. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  5 Février 2020  •  Résumé  •  2 640 Mots (11 Pages)  •  589 Vues

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PARTIE 1 : DIAGNOSTIC  DE  L’UNITE  COMMERCIALE 

  1. L’unité commerciale dans le contexte de son réseau :
  1. Les caractéristiques du réseau 

Système U est un réseau associé, plus particulièrement  une coopérative qui a été créée pour fédérer les différentes sociétés et enseignes d’adhérents.  

Le réseau est dirigé par Mr Schelcher depuis mai 2018.  

Ce réseau comporte 1 568 points de vente en France, dont 65 Hyper U, 762 Super U, 341 U Express, 5 Marché U et 395 U Utiles. Ainsi, le réseau comporte 65 000 collaborateurs. Le réseau crée son nouveau logo en 2009. Système U est positionné à la 6 ème place du classement des part de marché des grandes surfaces alimentaires.

  1. La place de l’unité commerciale dans le réseau 

Les apports

Les limites

 -Mutualisation des moyens et des achats.

-Partage du savoir-faire, échange  d’expériences et d’informations.

-Notoriété du groupement.

-Relative liberté d’entrée et de sortie du réseau.

-La rigidité du cadre : le créateur doit souvent respecter une configuration d'emblée normalisée du concept de vente ce qui réduit sa marge de manœuvre.  

-Coût d’adhésion au réseau.

-Temps passé pour la participation au fonctionnement du réseau.

  1. L’unité commerciale sur son marché local : A.        Fiche d’identité de l’unité commerciale  

[pic 1]

  1. L’offre de l’unité commerciale 

Produits et Services

Prix

Super U de Saint Sylvain d’Anjou propose 42 057 produits différents, dont 65% sont  des marques international, 35% des marques U (U maison, U bio, U essentiel, U saveurs..) et 2% de marques premier prix,  

Il propose des services payants, comme le U traiteur et la U location, mais aussi des services gratuits. Elle met à la disposition dans son hall un espace détente avec canapé, un distributeur de billets...

Le Super U utilise la politique de prix fixée par le réseau qui est une politique d’alignement, qui consiste à pratiquer le même prix que ses concurrents.  Cela se traduit par les promotions hebdomadaires et les promotions mensuelles différées

(carte U).  

Distribution

Communication

La stratégie de distribution est intensive, et multi canal : un canal majoritairement long intégré  qui part du producteur à la central d’achat qui nous les envoie, et nous les revendons auprès des consommateurs, mais il y a  aussi un canal court pour la marque Juvamine par exemple, qui est producteur et nous envoie elle-même ses produits, sans passer par la centrale.

Le Super U communique massivement au niveau local et national. Niveau local avec des sponsors sportif, une page Facebook où il poste des publications de ses salariés, des promotions et des événements. Mais il communique aussi à travers ces prospectus distribués dans sa zone de chalandise.

  1. La demande 

La demande quantitative

La demande qualitative

De 2016 à 2018, l’évolution du nombre de clients total du magasin, n’as cessée d’augmenter de 9,75% au total.

Les clients sont majoritairement répartis du côté produits frais avec 41% et 38% pour l’ELDPH.

Par secteur, le plus important panier moyen est dans le rayon frais avec 24.72€ et dans le secteur ELDPH avec 21.2€.  Le rayon où je travail, est celui de la beauté/santé avec un panier de 8.28€ et la parapharmacie de 7.70€

  1. La concurrence locale 

Lidl

Netto

Coup sur coup

Nocibé

POINTS FORTS

-Prix réduits.

-

Communication de masse. -Promotions mensuelles.

-Prix réduits -Bon rapport qualité/prix

-Station essence liée au point de vente.

-Produits de déstockages.

-Prix réduits.

- 10000 références en maquillages, parfumerie, soins visage\corps, capillaires

-Tester en magasin  

-site internet

POINTS FAIBLES

-Peu de salariés.

-Gamme de

produits réduite - Faible qualité de produits.

-Assortiment peu profond et large. -Mauvais agencement du magasin.

-DDM courtes ou passées.

-Prix élevés.

-Peu de marques biologique (voir que

1 :  sanoflore )  

  1. L’unité commerciale dans le contexte de son réseau :

        A.        Le macro environnement 


OPPORTUNITES

MENACES

TENDANCES >L’éclosion du drive et le boom du bio force les magasins à s’adapter : https://www.toute-la-franchise.com/vie-de-lafranchise-A29271-marche-de-la-grandedistribution.html 

>Les consommateurs sont sensibles aux questions d’hygiène et de traçabilité : https://agriculture.gouv.fr/etude-prospective-surles-comportements-alimentaires-de-demain

L’éclosion du drive et le boom du bio force les magasins à s’adapter : https://www.toute-la-franchise.com/vie-de-lafranchise-A29271-marche-de-la-grandedistribution.html

POLITIQUE 

>L'Assemblée Nationale contraint les grandes surfaces à donner les invendus alimentaires : https://www.lsa-conso.fr/l-assembleenationale-contraint-les-grandes-surfacesa-donner-les-invendus-alimentaires,

210766 

ECONOMIQUE 

> Un secteur créateur d’emploi :  

Les marques de cosmétiques françaises font vivre de multiples filières de production sur tout le territoire et emploient de nombreux talents aux profils très variés : entrepreneurs, logisticiens, botanistes, ingénieurs chimistes, mais aussi conseillers, vendeurs, esthéticiens, maquilleurs, manucures, coiffeurs …

https://www.regionsjob.com/actualites/ cosmetiques-un-secteur-qui-sent-bon-lacroissance-et-les-creations-demplois.html 

>La parfumerie et les produits pour la toilette sont en tête de liste et qu’ils « représentent 58 % du budget « soins et biens personnels » en 2015 contre 32 % en 1960 », toujours d’après l‘INSEE  https://www.dynamique-mag.com/article/machecosmetique-secteur-porteur.9534 

 

>l’essor de ce marché reste freiné par les prix de ces produits et le manque de crédibilité des appellations « bio ».  

https://www.ifop.com/publication/cosmetiques-leboom-du-bio/ 

>Concurrence très forte :  

Yves Rocher, la marque beauté préférée des Français, d’après le baromètre Posternak-Ipsos, semble l’avoir bien compris. Sans aucun doute grâce à ses valeurs « vertes, durables et naturelles

Malgré les nombreuses PME positionnées sur ce secteur, celui-ci reste largement dominé par les grands groupes tels que l’Oréal, Sephora, L’Occitane… De nombreux produits étant déjà présents, l’innovation s’avère indispensable pour pénétrer sur un marché saturé et se faire connaître.https://www.dynamique-mag.com/ article/mache-cosmetique-secteur-porteur.9534  

-Il existait 40 marques de cosmétiques bio en France en 2006. Elles étaient 235 mi-2010 ; -Les grands industriels des cosmétiques, à la recherche de relais de croissance, ont lancé leurs gammes bio, à l’instar de Lascad, très active dans le domaine ; -Les distributeurs ont eux aussi développé des MDD bio : GSA (Carrefour, Casino, Auchan, Monoprix, etc.), acteurs de la distribution sélective (Sephora, Marionnaud, etc.),  https://www.lesechos-etudes.fr/etudes/ agroalimentaire/cosmetiques-bio-naturels/ 

SOCIO-CULTUREL 

>

Nous voyons aujourd’hui que les offres de produits ayant

une meilleure qualité ou des meilleures caractéristiques, même s’ils

sont un peu plus chers, sont des offres qui sont reconnues par le

consommateur et qui sont achetées facilement. »

Avec l’arrivée en masse des blogs ou vidéos dédiés à l’expertise des produits mais aussi avec un plus large choix de produits, les clients deviennent de plus en plus exigeants, n’accordent plus une confiance aveugle aux marques et ne restent plus non plus fidèles à une seule d’entre elles. Ainsi, ils se renseignent, recherchent des informations sur les produits en question, listent leurs attentes…, dans le souci de faire le meilleur choix possible.  https://www.dynamique-mag.com/ article/mache-cosmetique-secteur-porteur.9534 

TECHNOLOGIE 

> Le digital prend ici tout son sens, qu’il s’agisse de communication (75 % des dépenses publicitaires du groupe Estée Lauder sont dédiées au digital) ou de distribution, ceci d’autant que de nouveaux business modèle émergent (cf. LimeLife rachetée par L’Occitane, eSalon rachetée par Henkel, Younique, …)  https://www.lesechos-etudes.fr/etudes/ agroalimentaire/marche-parfums-cosmetiques/ 

ECOLOGIQUE 

Le recours aux cosmétiques bio n’est plus l’apanage d’une minorité de consommatrices aisées, engagées ou particulièrement « éclairées » sur les méfaits que peuvent avoir ces produits sur la santé  

https://www.ifop.com/publication/cosmetiques-leboom-du-bio/ 

> La cosmétique française continue de jouer un rôle phare dans le monde entier. Admirée pour son excellence, elle innove plus que jamais pour répondre aux nouvelles quêtes de bien-être des consommateurs : sur la qualité et la sécurité des formulations, la personnalisation des produits et l’engagement environnemental  https:// www.lesechos-etudes.fr/etudes/agroalimentaire/ cosmetiques-bio-naturels/ 

LEGAL 

>Loi de la libre concurrence

la législation française influence les directives européennes en matière de cosmétiques : comme une condition à l’importation sur leur marché de produits cosmétiques finis. Il certifie que les produits cosmétiques mentionnés sont conformes au règlement Européen 1223/2009 et, de ce fait, peuvent être commercialisés en France et dans l’Union Européenne ».  https://www.dynamique-mag.com/article/machecosmetique-secteur-porteur.9534 

Le micro environnement 

...

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