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Corrigé d'anglais Devoir 1 Cned BTS

Étude de cas : Corrigé d'anglais Devoir 1 Cned BTS. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  29 Décembre 2018  •  Étude de cas  •  3 210 Mots (13 Pages)  •  3 073 Vues

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Entraînement à l’épreuve

Compte rendu écrit en français (6 points)

Faites un compte rendu du dossier documentaire en français. (environ 300 mots)

Ce dossier documentaire, regroupe trois documents. Comme premier document nous avons l’extrait d’un article du magazine anglais « The Economist » du 23/10/10.

Le deuxième document est une étude faites par Fortune Magazine: il s’agit d’un classement annuel des multinational en 2010 faites sur plusieurs catégories de leur responsabilités sociales.

Le troisième document est composé de plusieurs graphique représentant toute les responsabilités sociales que les entreprises doivent respecter en 2010.  

          L’article du document 1 a pour titre « Les entreprises ne sont pas des associations caritatives »,  il est suivi d’une phrase d’introduction expliquant la problématique de cette article qui est que dans les pays pauvres en voie de développement, la difficulté  n’est pas que les entreprises soient contraires à l’éthique, mais qu’il n’y en en existe pas assez.

La directrice du groupe de réflexion sud-africain « Center for Development and Entreprise » dénonce dans son livre « The Case for Business in Developing Economies », que les entreprises tirent profit de la société simplement en exerçant leurs activités habituelles. En effet, elles profitent en vendant des produits et/ou des services seulement aux clients consentants. Pour être concurrentielle, les entreprises proposent constamment des prix plus bas ou d’une meilleur qualité que leurs concurrents. Si elles parvient à réussir, elles répands alors la richesse en créant de une du travail, puis des salaires, des dividendes pour les actionnaires, des contrats pour les fournisseurs et un meilleur niveau de vie pour la population locale. Si par contre elles font faillite alors elles disparaissent.

La directrice Ann Bernstein, dénonce aussi le chômage en Afrique du Sud dû à un manque d’entreprise et d’investissement dans le pays compte tenu des lois sur l’environnement et/ou du travail. En effet, par exemple les lois du travail empêchent les entreprises de licencier les ouvriers et incitent à ne pas embaucher et à privilégier des embauchent non déclaré. Concernant l’environnement, la construction en 2008, avait privé par exemple le pays d’électricité.

Ann Bernstein, conteste les usages pratiqué par les ONG. Elle donne pour exemple, leurs actions de pression utilisé contre la construction du pipeline au Tchad de l’entreprise Exxon en l’obligeant à respecter les « Equator Principles » .  Pourtant, Exxon à fait en sorte de respecter l’environnement, les animaux et les habitants mais malgré ça, les ONG n’ont pas relâché leurs contraintes et leurs exigences ce qui a probablement découragé les autres entreprises à investir dans des pays pauvres.

Ann Bernstein signale par la suite, que l’idée que les entreprises seraient plus puissantes que les gouvernements est totalement fausse. Elle nous fait remarquer à l’aide d’une comparaison que par exemple les gouvernements ont la possibilité d’imposer des lois, des impôt et même de déclarer la guerre, tandis qu’une entreprise n’existe plus si personne n’achète ses produits. Elle donne l’exemple des magasins Blancs sous l’apartheid, qui ont abandonné leurs pratiques racistes lorsque les Noirs ont boycotté leurs produits. Cela prouve, que les entreprises sont sensible à l’opinion publique, chose plutôt positif.

Cette article met dont en avant la nécessité de créer des entreprises et d’investir dans les pays pauvres pour leur permettre de ce développer et d’améliorer leurs qualités de vie et minimiser les aspects négatifs de leurs pays.

              Le deuxième document présente quatre tableaux de classement regroupant les entreprises possédant leurs capitaux et leurs activités répartis dans plusieurs États en 2010. Chaque compagnies est classé de la plus efficaces à la moins efficace dans plusieurs domaines : la qualité de la gestion et de la gouvernance générale, la gestion du personnel, l’innovation et enfin la responsabilité sociale.

Après lecture, on remarque que certaines entreprises apparaissent plusieurs fois en haut des classement tandis que d’autres restent souvent en bas des quatre classements. On discerne tout d’abord les fameuses grandes entreprises américaines telles que Apple ou bien UPS qui ce révèle être en haut du classement pour toutes les catégories. Par la suite, il y a les entreprises qui sont dans au moins deux catégories dans les dix premier du classement telles que Goldman Sachs Group, Nike, Procter and Gamble. On retrouve à la fin, les entreprises les moins efficaces dans au moins deux domaines telles que Citigroup, Nortel, Family Dollar Stores, Boyd Gaming, Sear’s Holdings, Health Net, Las Vegas Sands, UAL, PDSVA. L’entreprise la moins efficace dans tout les catégories est Dillard’s.

On comprends très vite, que l’opinion publique a permit d’améliorer les pratiques de plusieurs entreprises telles que Goldman Sachs Group (qui avait été critiqué lors de la crise financière) et qui ce retrouve dans le haut des classements.

Les efforts des entreprises au sein de leurs établissements, pour la création d’emplois, pour leur progrès en innovation ou leur investissements dans des projets de développement durable dans les pays en voie de développement; leurs permettent d’être respecter pour leurs engagements sociale telle qu’UPS ou bien Shell.

                    C’est ce que nous montrent les graphiques du troisième documents. Ils permettent en effet, de distinguer les motivations de la responsabilité sociale d’une entreprise et leurs types d’engagement.

Le premier graphique montre le pourcentage des émissions de CO2 dans la fabrication d’une chaussure de course : pour les matériaux 47%, pour la gestion des déchets 13%, pour  la fabrication 25%, l’emballage 2%, la logistique à l’arrivée (le transport) 7%, la conception 1%, et la vente au détail 4%.

Le deuxième graphique analyse toute les initiatives liées aux personnels et aux lieux de travail. Il y a 71% d’investissements dans la santé et le bien-être, 65% en donations caritatives à la communauté, 64% dans la promotion de l’égalité et de la diversité et 62% dans la flexibilité au travail.

Le troisième graphique représente le pourcentages d’employés des minorités ethniques. Ils représente 40% de tous les employés aux Etats Unis, 50% du personnel nouvellement recruté et 30% du management.

Le dernier graphique indique les opérations mondiales par secteur géographique. Donc on a 34% au États-Unies, 42% en Europe, 18% en Asie, Moyen Orient et en Afrique, 6% en Amérique du sud et au Canada.

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