Commentaire sur l'être humain selon Jean-François Dortier

Partie I

1) Dans cet extrait d’altruiste ou égoïste, les deux faces de l’être humain, l’auteur mentionne le fait que l’homme est un mammifère social, en effet tout comme les animaux nous serions soumis à et guider par des pulsions, et des besoins comme la nourriture par exemple. Ajouté à ces pulsions nous aurions également une conduite comme les animaux qui ferai en sorte que nous pouvons vivre en communauté, créer des liens avec d’autres individus, et partager et ressentir des sentiments à leur égard. Ce comportement nous permet donc de ne pas rester seul toute notre vie mais d’aller vers les autres mais ces attitudes nous font dépendre des autres, comme nous somme assujettis à nos pulsions nous sommes aussi assujettis aux autres, pas de la même façon car la dépendance à l’autre résulte des liens créer entre les deux individus.

L’homme est donc un mammifère social doté des mêmes caractéristiques que l’animal mais il faut ajouter à cela d’autres attitudes et capacités qui lui sont bien propre et qui font donc de lui un mammifère social bien particulier.

L’humain à la spécificité de réfléchir et d’analyser plus loin et plus profondément que l’animal, en effet l’homme est conscient et responsable, il est soumis par la société aux notions de bien et de mal, de punition et de règlement, de normes ou encore à la morale. Il ne peut donc pas agir comme il le veut et doit restreindre certaines de ces pulsions qui sont contraire à la morale et à l’éthique ce qui induit le fait qu’il adapte sont comportement en fonction de chaque situation et qu’il soit de ce fait plus difficile a comprendre et à analyser que les animaux.

Jean-François Dortier prend dans ce texte l’exemple de la philanthropie, il explique que ce comportement est typique des hommes.

Pour lui l’humain créer des associations caritatives ou des gestes généreux mais ces actes ne sont jamais vraiment désintéressés. Il y aurait toujours derrière un acte de don ou de charité, de l’égoïsme et un besoin de reconnaissance.

Ces actes de générosité reposeraient sur les notions évoquées plus tôt comme le devoir, la conscience ou encore l’éthique, ces notions sont très importantes car elles nous permettent de nous sentir bien nous-même, le sentiment d’avoir aidé et de faire une bonne action mais aussi et surtout d’avoir une bonne image auprès des autres.

2) Aujourd’hui la publicité exploite un certain nombre de valeurs et de notions dans les publicités car elle connait leur impacte et leurs efficacités sur les cibles. La solidarité fait partie de ces valeurs utilisée par la communication car elle parle à beaucoup d’individus.

L’utilisation de la solidarité dans la société permet de sensibiliser plus facilement qu’avec d’autres valeurs.

En se servant d’images choquantes ou forte l’annonceur interpelle fortement la cible et la marque.

Le contexte est très important dans le spot, il faut que la cible puisse se projeter en tant que victime mais aussi en tant que témoin ou en tant qu’acteur pour qu’elle puisse faire un acte de générosité pour pouvoir faire un geste qui améliorera la situation de la victime.

Effectivement en voyant quelqu’un souffrir notre instinct humain veux inconsciemment lui venir en aide, et c’est à ce moment là que l’annonceur répond à notre problématique en proposant une solution, le don.

On le constate dans la publicité pour la croix rouge, on voit une équipe secourir une petite fille, cette intervention ce fait dans une maison ou vit une famille défavorisé, on retrouve donc le contexte familiale ou tout le monde pour ce projeter et ce reconnaitre sans être forcément dans la même classe sociale que cette famille, on la voit ensuite entré dans un hôpital, elle se retrouve ensuite dans une cours de récréation, une phrase explique que tout le monde a le droit à une scolarité même les plus démunis, puis à la fin du spot il apparait, : « faites un don ».

Lorsque l’on travaille cette notion dans le communication la remise en question est très importante, elle va permettre à la cible de participer activement à la publicité et elle sera beaucoup plus attentive.

Pour pouvoir solliciter la cible et faire en sorte qu’elle se sente toucher et intéressé par ce qu’elle voit il faut s’adresser à elle, l’amener à se poser la question « et s’y ça m’arrive ? ». Pour qu’elle se mette totalement à la place de la victime car elle va se demander comment elle pourrait faire pour que cela n’arrive pas, n’y à elle n’y a quelqu’un d’autre. Elle doit donc pouvoir se reconnaitre dans le spot te retrouver les aspects de sa vie actuelle.

Dans le nouveau spot publicitaire pour la fondation Abbé Pierre, on voit un homme se faire licencier de son travail puis toute sa vie s’écrouler, il perd sa femme et sa maison. Au milieu du spot la situation s’inverse et il retrouve sa vie, à la fin il y a un appel au don.

Cette situation est susceptible de toucher un grand nombre de personne et montre qu’une seule chose peut tout faire basculer. La cible se projette donc à la place de cet homme et se dit que c’est grâce à ce don qu’on l’appel à faire que l’homme ou elle si elle se retrouve dans cette situation va la sauver.

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