Comment l’essor des chemins de fer modifie t-il le rapport des hommes ou des artistes au monde?
Fiche : Comment l’essor des chemins de fer modifie t-il le rapport des hommes ou des artistes au monde?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bab10 • 7 Décembre 2020 • Fiche • 947 Mots (4 Pages) • 553 Vues
Gros-Jean S2NDRC°B
Batiste
Synthèse de documents:
Le début du 19ème siècle à été très important pour les innovations, en effet le train à permis à de nombreuses personnes de se déplacer beaucoup plus rapidement et à faciliter le monde de vie de nombreuses personnes à l’époque. Cela lui a permis d’avoir tout le succès qu’on lui connaît maintenant. Clément Chéroux explique dans “Vues du train. Vision et mobilité au XIXème siècle”(1996) que grâce au train, c’est devenu plus facile de se déplacer et c’est le nouveau moyen de transport le plus rapide. “Voyage en Belgique” paru 1837 et écrit par le célébre Victor Hugo qui raconte à sa femme son trajet en train vers la Belgique qui décrit de rapide et facisant. Blaise Cendrars à écrit son poème “Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France” dans les premiers mois de 1913. William Turner à quant à lui sortis sont tableau “Pluie,Vapeur et vitesse, Le grand chemin de fer de l’Ouest”en 1844 celui-ci décrit un train passant à toute vitesse au dessus de la Tamise en Angleterre. La problématique est la suivante; Comment l’essor des chemins de fer modifie t-il le rapports des hommes ou des artistes au monde? Après avoir étudier l’influence de la vitesse ferroviaire au 18ème siècle qui est perceptible, il sera utile d’analyser ce nouveau rapport au monde qui entraîne une évolution esthétique importante.
Dans tous nos documents, nous pouvons constater que les artistes sont tous fascinés par le progrès technique, la machine. Dans son tableau, Turner peint son train qui arrive à toute vitesse face à nous traversant le viaduc pour montrer à quelle point la machine peut aller vite et donc sa modernité. Victor Hugo s’est quant à lui essayé à nouveau au voyage en train et il a apprécié le confort et la rapidité. “Je me suis réconcilié avec les chemins de fer; c’est décidément très beau. Le premier que j’avais vu n’était qu’un ignoble chemin de fabrique.” De plus, l’auteur trouve le trajet très rapide, “je partais à quatre heure dix minute et j’étais revenu à huit un quart ayant passé cinq quart d'heure à Bruxelle et fait vingt-trois lieues de France.” Pour cette époque, faire un aller-retour entre Anvers et Bruxelle en moins de 24h et quelques chose d’exceptionnelle d’invention. Tous nos documents témoigne aussi de la vitesse et de la fiabilité de ses machines. Blaise Cendrars nous dit que les trains avec les wagons retombent toujours sur leurs roues, ce qui prouve que malgré tout les long trajets qu’il à déjà effectué, que les paysage qu’il traverse (neige etc.. pour aller jusqu’en Russie) reste toujours fiable avec peu d’accidents depuis toute cette époque; “Le train fait un saut périlleux,et,retombe sur toutes ses roues, le train retombe sur ses roues; Le train retombe toujours sur toutes ses roues.” Le premier ressentis de l’auteur est la vitesse du train qui est beaucoup plus rapide et donc plus agréable “il en est une immédiatement remarquée par les premiers commentateur: la vitesse. Quatre fois supérieure à celle des attelages les plus rapide et permet des impressions visuelles.”
...