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Cas Numériperf

Étude de cas : Cas Numériperf. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  10 Juin 2019  •  Étude de cas  •  1 000 Mots (4 Pages)  •  449 Vues

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Cas NUMERIPERF

Analyse de la situation de l’entreprise

Question 1

Sur les cinq dernières années le style de direction que Marie- Louise a décidé d’adopter, selon R.LIKERT, est un style autoritaire il définit le dirigeant comme le seul preneur de décision et ayant un contrôle absolu. Marie-Louise laisse peu de responsabilité à ses subordonnées et fonde son pouvoir sur les contraintes. Les conditions de travail des programmeurs se dégradent de plus en plus, ils doivent faire des heures supplémentaires « récupérables à l’occasion », ils rapportent du travail chez eux les week-ends sans que Marie-Louise se soucie des conséquences familiales, son seul but étant de satisfaire le client « à tout prix ». Ce style de direction nuit à la motivation des équipes et ne favorise pas les initiatives.
De plus selon R.BLAKE et J-S MOUTON, elle met en oeuvre un style 9/1 où seul compte la recherche maximale de l’efficacité de la production et où l’intérêt porté par le dirigeant aux relations humaines est nul, ce mode de fonctionnement est égal à un style taylorien.

En ce qui concerne Jean-Charles son style de direction est consultatif par définition, selon R.LIKER, il consulte ses subordonnées avant de prendre une décision, ils se sentent donc impliqués dans le fonctionnement de l’organisation, cela favorise le travail en équipe. Depuis la création de Numériperf, Jean_Charles n’a pas changé de style de direction en effet il a demandé à chacun son point de vu mais à toujours assumé la décision en raison de ses responsabilités. Il a su imposer à ses équipes des cagets des charges éxigeants et ambitieux pour satisfaire les clients tout en tenant compte des capacités et des besoins de chacun de ses collaborateurs afin de les voir s’épanouir personnellement et de progresser professionnellement.

Selon R.BLAKE et J-S MOUTON il a adopté un style 9/9, il porte un intérêt maximal à la fois pour la production et pour le personnel.

Question 2

Un Domaine d’Activité Stratégique (DAS) est une sous-partie de l’organisation à laquelle il est possible d’allouer ou de retirer des ressources.

Dans le cas de Numériperf le DAS 1 correspond à la conception et la vente de logiciels informatique aux TPE, ETI, grandes entreprises, associations...
Le DAS 2 lui concerne la formation.

Question 3

Pour montrer, qu’au cours des dix premières années de son existence les choix de Marie-Louise et Jean-Charles prenaient en compte les attentes de leurs principales parties prenantes nous devons les définir.

Le terme « parties prenantes » fait référence à la volonté de chacun des acteurs de bénéficier d’une fraction de la valeur ajoutée produite par l’entreprise.
Le dirigent doit en permanence arbitrer entre les attentes des différentes parties prenantes, internes ou externes à l’entreprise.

Concernant Numériperf, les parties prenantes internes à l’entreprise sont les programmeurs d’une part qui pendant les dix premières années se sont vus proposés des hausses de salaires (plus ou moins 1/3 des profits), et un système d’horaires modulables pour permettre à chacun de concilier vie personnelle et professionnelle. D’autre part, les actionnaires recevaient 1/3 des profits sous forme de dividende ce qui était pour eux une situation idéale.

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