Pratique de l'écriture
Cours : Pratique de l'écriture. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Iriswangyi • 27 Novembre 2019 • Cours • 479 Mots (2 Pages) • 355 Vues
Nom : Wang [pic 1]
Prénom : Yi
Prénom français : Iris
Manger la fondue épicée
La façon d’inciter fortement la nostalgie c’est le manque de la spécialité gastronomique de sa ville natales.
Mon séjour en France
Le vin en France
Le vin fait vraiment une partie inséparable dans la culture française. Je le sentais fortement quand j’ai mis mon premier pas dans la rue, j’avais facilement les marchands de vin sous mes yeux. C’était incroyable de voir des bouteilles de vin étalés presque partout : dans un magasin à succursales nommé Nicolas, sur le menu de restaurant n’importe quelle envergure, dans les rayons réservés au vin dans les supermarchés, voire dans la cantine au campus et bien sûr dans les bars.Je n’avais jamais bu de vin avant mon arrivée en France. L’interdiction de mes parents, le prix très élevé et la mauvaise qualité de vin sont devenus les barrières entre moi et le vin. Mais en France tout est différent. Je me libère comme un oiseau qui a été fermé dans un cage. Et j’ai plus d’occasions à toucher le vin portant la meilleure qualité-prix.
Il y avait une journée d’accueil organisée par le maire dijonnais pour les étudiants internationaux. Mes amis en Erasme m’a invitée d’y aller en disant qu’il y le vin le plus typique— le kir. Après avoir entendu le discours du maire dans le palais des ducs rempli par le vacarme du monde, on m’a offert le kir. Rouge mais très limp,ide dans le verre, le kir avait l’air de fuir de la glace et avait envie d’avoir une rencontre avec la langue. J’ai mis le nez au bord du verre, une odeur agréable traversant mes narines. J’ai sucé un peu de vin, sucré mais pas amer ou acide comme j’avais imaginé. Il était aussi un peu piqué, c’est le point commun de l’alcool. En bavardant avec mes amis, un verre s’est fini. Je rougissais, sentant mon visage très chaud. Ensuite une amie tunisienne m’a donné un deuxième verre. Je l’ai accepté car je pensais que le kir est très savoureur. Un deuxième verre a été avalé en cours de bavardage. Tous sont partis dès la fin de la soirée. Une amie belgique, Elyse, a proposé d’aller manger dans un restaurant japonais. Quand je suis sortie du palais des ducs, c’était le vertige que le kir m’a laissé. Je ne savais plus la direction, suivant inconsciemment mes potes. Dans le restaurant, tout le monde continuait à parler. Je mettais les mains pour soutenir la tête de peur qu’elle ne tombe, en ajoutant quelques mots français pas bien organisés. Voilà le vin français me rend soûle à la fois gaie.
L’architecture en France
Paris
Les amis français
Mes études en France
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