La soulterie, devoir de management
Étude de cas : La soulterie, devoir de management. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar hylonna • 22 Mars 2020 • Étude de cas • 973 Mots (4 Pages) • 471 Vues
Question 1 :
La Soulterie relève d’une logique entrepreneuriale. En effet, Mr et Mme PRÉVALMA sont deux anciens salariés de 2 grands groupes industriels internationaux, qui se sont lancés, un peu au hasard, dans la reprise d’une librairie. Ce qui était une prise de risque sachant qu’Alain possède un baccalauréat en électricité et Conception un baccalauréat de secrétariat. Ils ont su innover et créer de nouvelles offres de marché en mettant en place des partenariats avec d’autres commerçants et en entrant sur un nouveau segment de clientèle avec la vente aux collectivités. Ils ont non seulement maintenu l’activité de l’entreprise mais l’ont également développée, bien qu’ils étaient menacés par de plus grandes enseignes. Alain et Conception ont eu la faculté d’identifier et de faire fructifier la librairie en faisant coïncider l’innovation et le besoin. Ces deux entrepreneurs ont su reprendre l’entreprise pour la développer.
Selon J. Schumpeter : l’entrepreneur doit être innovant et percevoir les opportunités pour savoir les exploiter et en tirer de la valeur. L’entrepreneur prend des risques. L’innovation est un facteur de croissance et d’emplois.
Question 2 :
Les finalités que cherche à atteindre Mr et Mme PRÉVALMA sont d’une part d’un ressort économique et financier et de l’autre sociétale. Ils souhaitent aussi répondre à des besoins personnels, car en effet, s’ils ont repris cette librairie c’était dans l’optique de devenir autonome sur le plan professionnel, et d’avoir de meilleurs revenus.
Tout d’abord, Alain et Conception cherchent à réaliser du profit pour assurer la pérennité de leur entreprise et la rémunération de leurs actionnaires. Ils assurent un service de qualité afin de répondre au mieux aux besoins des consommateurs et de pouvoir de ce fait les fidéliser. Sur un point de vue social, l’entreprise est aussi créatrice d’emplois en s’implantant dans diverses régions, ce qui lui permet d’élargir son marché et sa clientèle. Des CDD sont proposés aux étudiants pendant les périodes de pointe d’activité, et enfin l’association créait avec La Soulterie (Prim’livre) a pour finalité de promouvoir la lecture dans des milieux où le livre n’a pas toujours la première place, et d’aider de jeunes auteurs à se lancer.
Question 3 :
La Soulterie est une entreprise très performante de sa première année à sa 13ème année. Mr et Mme PRÉVALMA ont su conserver la clientèle de l’ancien propriétaire et développer des projets locaux en partenariat avec d’autres commerçants. Ils ont su dynamiser leur activité qui était pourtant concurrencée par les grandes chaînes. Sachant que leur emplacement ne leur permettait pas d’avoir un volume naturel de flux de clients assez important pour accroître leur activité, ils ont visé un nouveau segment de clientèle : la vente aux collectivités. L’entreprise à considérablement augmentait son chiffre d’affaire, ainsi que sa clientèle et a multiplié par 10 sa rentabilité.
Cependant, à l’approche de sa 15ème année d’existence, des difficultés apparaissent. Plusieurs retards dans les livraisons, les effectifs et les ressources logistiques ne sont plus suffisants, le renouvellement des promesses non tenues créé des déceptions, certains clients changent de fournisseur, la somme de travail devient trop importante.
L’activité de l’entreprise augmente, les clients continuent d’affluer, le chiffre
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