La précarité étudiante

B-L ‘insuffisance d'aides et de systèmes visant à enrayer la précarité étudiante alarme :

Comme la dit Shanon, la précarité étudiante ne date pas d'aujourd'hui et malgré l'accumulation de contribution pour y remédier,on en voit toujours pas le bout.

Face à la précarité étudiante ; de nombreuses fondations, associations et systèmes ont vu le jour afin d'aider les jeunes à joindre les deux bouts, mais aussi pour leurs permettre de mieux s'alimenter et mieux se loger.

La plus connue de ces fondations a été fondée le 16 avril 1955,c’est le CROUS (Centre régional des œuvres universitaires et scolaires). A une époque où le logement pour les étudiants est une préoccupation importante, Il permet d’accélérer la création de résidences universitaires. Publique, il apporte notamment une attention plus poussée aux étudiants précaires, qui peuvent bénéficier de logements à moindre prix. En 2016, le CROUS propose 170 000 logements étudiants en France. Ceci est une avancée majeure, mais qui reste tout de même insuffisante ,car la demande de logements étudiants se multiplie : entre 1920 et 2020, le nombre d’étudiants passe de 49 000 à 2,7 millions. Une forte augmentation qui nécessite l’augmentation du nombre de logement étudiant. En effet, la question du logement est d’une importance capitale pour les futurs étudiants.

Plus récemment au niveau du CROUS, les étudiants boursiers peuvent bénéficier du repas à un euros. Ce bénéfice est très important pour les étudiants, car l’alimentation besoin vitale est leur préoccupation première.

A ce titre on retrouve l'AGORAé à Lyon, qui est un super marché où en moyenne tous les articles sont à -90% .Il est accessible à tous les étudiants. C’est le fruit d’un partenariat entre l’Université Lumière Lyon 2 et l’association étudiante GAELIS.

Dans des démarches identiques, des associations comme le Secours Populaire, la Croix-Rouge ou la fondation Abbé-Pierre sont très actives. Nous avons également les Banques Alimentaires et les épiceries solidaires qui sont depuis plusieurs années mobilisées contre la précarité étudiante.

Des initiatives comme celles-là sont nombreuses et variées, l’une d'elles est assez atypique. Il s'agit de l'auteure de notre tableau, qui le peint pour une vente organisée qui a pour but d'offrir 350 colis alimentaires à des étudiants. Le message est clair de diverses façons, différents acteurs luttent contre la précarité étudiante, fléau touchant la jeune génération. Mais depuis la crise sanitaire, les demandes pour tous types d’aides par les étudiants se sont accrues de manière exponentielle. Et face a la demande les aides sont clairement insuffisantes.

Conclusion :

Elle est depuis des décennies un fléau qui gangrène la société. De nombreuses solutions pour l’endiguer sont apparues aux fils des années. Mais avec le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter et de plus en plus de personnes aspirant aux études supérieurs elle ne cesse s’accroitre.Nous avons vu que la précarité touche plusieurs aspects de la vie d’un étudiant et qu’elle a des répercussions directes

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