Fusion des entreprises Laurentides et Liberté

Fusion des entreprises Laurentides et Liberté

Importante fusion dans le domaine des services financiers et et des assurances.

La Laurentide

Entreprise de service financiers se spécialisant dans les assurances, rentes, placements, prêt et hypo…etc déconcentrer dans toutes les régions du Québec, en 1997 elle comptait 580 employés réguliers non syndiqués, évoluant dans un marché très compétitif ou la marge de profit est restreinte, avec un style de gestion participatif d’avant-garde et très innovateur.

Les affaire marchent avec une force résident au sein des groupes de clients, avec des perspectives d’expansion au seins des communautés francophones du canada et des US, sans négliger les particuliers en développant des produits et services financiers adaptés a leurs besoins.

La nouvelle entreprise (issu de la fusion) veut inspirer sa raison d’être de la mission et valeur de la Laurentide et l’identification de ses valeur organisationnelles on étaient réalisée en collaboration avec les employer et les valeur dégagées se résume en :1-primauté des client,2- respect des RH et de son développement,3-recherche de la qualité,4-désir de progresser,5-implication dans le milieu.

Depuis qlq années le monde syndical a tenter de syndiquer les employés de la Laurentide mais sans succès, pas de besoins d’amélioration exprimés par les employer.

La Laurentide a comme politique générale en terme de GRH le respect de la démocratie parmi le personnel, mais surtout qu’il n’est aucune interférence dans l’administration et l’orientation de ses associations d’employés par la direction.

On a donc constaté récemment que le besoin de se syndicaliser pour voir des changements s’opères est absent chez les employés dont plusieurs d’entre eux considère les mécanismes de consultation et d’information en place adéquat et accessible.

La Liberté

Également une compagnie de services financiers situé a Montréal avec 280 employés dont 196 syndiqués avec le (SCFP) syndicat canadien de la fonction publique, possédant quelques bureaux au Québec, depuis qlq années elle éprouve une baisse de rentabilité, elle a un style de gestion traditionnel a l’image de la concurrence.

Se spécialisant auprès des individus, elle vise a rentabiliser ses activités avec une concurrence rude elle désire percer d’avantage le marché des groupes.

En fin des années 1970 ses employés se sont affilés a la FTQ et sont satisfait de leur appartenance syndicale. L’entreprise leurs a tjr reconnu le droit de s’associer, ils sont rassurer de savoir leurs droits confirmés dans une convention collective et ils accordent une grande confiance a leur exécutif syndical actuel quant a sa capacité a les représenter adéquatement.

Le défi :Intégrer les pratiques de GRH et développer une culture organisationnelle

Les deux entreprises devront fournir des effort important en matière de pratique de GRH en mettant sur pied une structure salariale, une unique politique de rémunération variable basé sur la performance, d’une politique intégrée de dotation et de mobilité interne pour l’ensemble des catégorie du personnel, d’une politique de formation

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