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Devoir Economie droit 2 CNED BTS COM

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Par   •  19 Novembre 2022  •  Étude de cas  •  2 715 Mots (11 Pages)  •  373 Vues

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Devoir ÉCONOMIE ET DROIT 2

ÉCONOMIE :

  On peut constater que sur ces dernières années, le continent Africain est en pleine croissance et développement, dû à son potentiel économique. Sa croissance économique, autrement traduit par la hausse durable du PIB (Produit Intérieur Brut, indique l’indice de développement d’un pays), est grâce à certains facteurs de croissance. En effet, il a augmenté de 6% de croissance depuis les années 2000. L’Afrique s’est vu passé 2ème derrière l’Asie dépassant certaines puissances d’Europe. Pour ce faire, on peut voir que la classe moyenne d’Afrique s’est développé et la croissance démographique est devenue la plus rapide du monde.

En premier lieu, nous allons démontrer les principaux facteurs de croissance du continent Africain, puis l’importance des Investissements Directs Étrangers sur le continent africain et enfin les conditions pour que la croissance corresponde à un développement durable.

La croissance de l’Afrique, autrement dit sa création de richesses, est supérieur au taux de croissance mondial.

En vue de la forte croissance démographique d’Afrique on peut prévoir que à la fin du 21 -ème siècle il y aura autant d’habitants au Nigeria qu’en Inde. L’Afrique c’est intégré à l’économie mondiale en augmentant les investissements et en créant plus d’importations. Le nouvel objectif de l’Afrique est d’intégrer sa production locale dans le marché mondiale mais aussi celui d’augmenter la productivité.

Le facteur du travail est en pleine croissance en Afrique. En effet, grâce à cette forte croissance démographique, il y’a un potentielle de main d’œuvre très abondant. Il faut donc investir un maximum dans le capital humain. C’est-à-dire, améliorer et qualifier les compétences des travailleurs afin de réponde aux besoins des entreprises, qui elles, veulent investir et embaucher. L’Afrique est le continent qui contient le plus de jeune au monde et le travail des enfants y est encore courant ce qui empêche une scolarité normale.

Mais il faut également développer les infrastructures scolaires et de santé. En effet, en Afrique, particulièrement en Afrique sub-saharienne, beaucoup de travailleurs ne sont pas en bonne santé. Leur condition physique ne leur permet pas de travailler correctement et de rester sur le long terme dans les entreprises. Les faibles revenus et le niveau de vie assez bas de l’Afrique subsahariennes explique le retard qu’il subit. Ce continent est la partie la plus pauvre et la moins développée à  cause de ses faibles revenus et son niveau de vie bas, tandis que des pays émergents comme le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine arrivent à se développer.

 L’Afrique doit réussir à faire deux choses à la fois : faire face aux besoins de cette classe moyenne qui dynamise l’économie du pays mais aussi de former et d’éduquer pour participer au développement.

Malgré la croissance économique de l’Afrique au niveau du développement humain, on peut encore voir des soucis au niveau de l’éducation, de la santé et du niveau de vie de la population.

Il faut donc construire plus d’infrastructures afin de faciliter les échanges et améliorer la productivité. Tout d’abord en améliorant la gestion des ressources énergétiques, en améliorant également les systèmes de transport et surtout en permettant l’accès aux ressources d’eau et d’électricité.

De plus, il faut accumuler le capital en investissant dans des biens matériels mais également immatériels. Même s’il y’a déjà un progrès technique bien présent en Afrique.

Les objectifs en investissant sont d’acquérir un niveau de techniques nécessaire à l’intégration dans la chaine de valeur mondiale.

Mais également de soutenir l’innovation dans les entreprises et plus particulièrement dans le secteur privé. De ce fait, il faut investir dans les nouvelles technologiques, dont les TIC (Technologies de l’Information et de la Communication), qui constitue un bon levier de croissance. Il faut aussi investir dans la Recherche-Développement, en utilisant, copiant, adaptant les technologies déjà existantes à l’étranger.

Il faut également développer les investissements immatériels (comme les brevets), les partenariats entre les unités d’enseignement, de recherche et le monde de l’entreprise.

Privilégier les investissements à haute technicité par rapport aux investissements en machines et en équipements est aussi nécessaire.

Pour conclure, ses différents facteurs doivent conduire à l’augmentation de la productivité et de la valeur ajoutée, ainsi qu’à la hausse des revenus distribuées, à une bonne insertion dans la chaîne des valeurs mondiales et donc à son amélioration du niveau de vie. Cette dynamique induit forcément une hausse de la demande des consommateurs, qui est le moteur principal de la croissance en Afrique.

L’investissement direct à l’étranger est une activité par laquelle un investisseur résidant dans un pays obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d’une entreprise résidant dans un autre pays. On parle d’IDE lorsque l’investisseur résidant dans un pays obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d’une entreprise résidant dans un autre pays. La forte croissance des demandes de consommateurs pousse les investisseurs à s’orienter vers le marché Africain.

Plusieurs stratégies sont présentes pour les investisseurs et les firmes multinationales : la stratégie d’approvisionnement, en accédant aux ressources naturelles présentes en Afrique et donc en baissant les coûts. Aussi,  la stratégie de marché, en pénétrant dans les nouveaux marchés et en s’adaptant aux demandes locales. Mais également, la stratégie de la production car les coûts de mains d’œuvres sont moins élevés que dans les autres pays, donc les coûts de production aussi. 

Mais de nombreuses firmes multinationales de pays développés (comme les opérateurs téléphoniques), cherchent à se développer en Afrique. Les opérateurs mobiles ont les yeux rivés vers l’Afrique car le marché dans les pays développés est déjà saturé mais pas sur le continent africain. En effet, celui-ci est très pauvre. L’utilisation de téléphones mobiles a énormément augmenté depuis les années 2000, en effet avant cette période l’Afrique avait moins de téléphone que la ville de Tokyo mais en 2013 il y a 650 millions de téléphones sur le continent c’est plus que les Etats-Unis. L’opportunité du marché pour les opérateurs mobiles est grande dans un continent qui n’est pas équipé ou très peu comme la République démocratique du Congo ou un pays très peuplé comme le Nigéria, cela peut permettre une forte croissance pour le continent Africain. La croissance du secteur de télécommunication à un très gros impact sur l’économie.

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