Cas superproche
Étude de cas : Cas superproche. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar rzim • 21 Novembre 2019 • Étude de cas • 1 353 Mots (6 Pages) • 2 017 Vues
GRH
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- Introduction
L’entreprise Superproche est en train de changer de modèle économique et pour accompagner ce changement, le dirigeant a bien compris qu’il fallait aussi changer de modèle GRH. Comme tout changement, il doit être adapter au contexte de l’entreprise, faire ressortir les bénéfices attendus pour chacun, ce qui est mis en place dès à présent et ce qui va l’être ensuite. En dégageant ces différents points, on pourra montrer au dirigeant que la GRH s’intègre au changement, l’accompagne et le facilite.
- Etat des lieux
- Evolution du marché de l’entreprise
L’entreprise Superproche a un double objectif : une monter en gamme et un nouvelle cible clientèle qui va avec, plus jeune.
Toutefois cela peut se confronter à certaine réalité terrain perçue par les gérants. Il faut accompagner ce changement par une action vers les gérants démontrant le potentiel marché que la nouvelle cible représente en fonction des différentes populations de chaque secteur. C’est une action qu’il faudra faire faire mais accompagner pour la faire accepter.
Moi mes clients et mes salariés, dans mon magasin, à Villezonde sur Bezergue, ce n’est pas tellement Monsieur et Mademoiselle Bobo, c’est plutôt Mamie Nova et Papy Brossard
- Adaptation du modèle RH
Les différentes entités de support du groupe, comme le marketing ou la supply chain, se sont déjà mis en route pour mettre en place le nouveau modèle. Pour la GRH, il y a un changement de modèle qui va devoir s’opérer aussi en passant d’un modèle discrétionnaire où les gérants avaient une entière liberté et où la RH étaient un support purement administratif à un modèle de Business Partner où l’on investit davantage dans nos salariés. Le support et les échanges avec les gérants en sera alors grandement améliorer, et l’on verra par la suite quels bénéfices cela va permettre de dégager. Pour accompagner ce changement il faudra communiquer les différents points d’actions prévus en faisant redescendre l’information et les résultats aux boutiques, pas seulement en demandant de la montée d’information. Le support administratif sera toujours central.
Les RH, ils sont bien gentils, ils nous demandent des tas de trucs mais quand on a besoin d’eux, tintin ! Il n’y a plus personne !
Dans ma boutique, y’en a un qui est soi‐disant malade. Impossible de m’en débarrasser. L’autre jour, y en a un autre qui me dit que Franprix lui offre le même poste avec une semaine de RTT en plus, ils n’ont pas voulu s’aligner… Du coup, le gars, il est parti.
- Le plan RH
Avec le nouveau modèle promu par la Direction, il y a un changement attendu dans le fonctionnement quotidien des salariés. C’est ce qui a était présenté à l’assemblée générale. C’est la Culture de l’Accueil. Après la présentation aux gérants, il va falloir descendre ce nouveau modèle aux équipes. Et nous verront comment il sera possible de piloter cette mise en place dans le dernier bloc « stratégie et conséquences ». En effet avant de le descendre aux salariés, il faut s’assurer l’adhésion des gérants.
- Bénéfices attendus
- Pour les « marchand[e]s »
Avec le changement de statut des salariés, l’entreprise va sortir d’un modèle quasi taylorien où les salariés avaient un nombre de taches limitées et répétitives. Ils vont avoir un peu plus d’autonomie, moins de routine. De plus, sans forcément dépenser plus d’argent, ils vont pouvoir faire valider leur acquis. Ce qui permettra à l’entreprise d’identifier plus facilement ceux qui ont du potentiel et de la motivation ce qui a plus long terme permettra de mettre en place des actions spécifiques vers ceux là pour les maintenir dans l’entreprise, voir leur proposer des avancer dans l’entreprise vers d’autres postes ou magasins.
Ah ben ça c’est la meilleure ! On va les former et après, soit ils vont prendre le melon, soit ils vont passer à la concurrence !
- Pour les gérants
En sécurisant les salariés, en leur proposant une plus grande variété de tâches, on affecte leur motivation et on les fidélise, il y a donc pour les gérants la possibilité de voir moins souvent des départs vers la concurrence de bons éléments, une baisse aussi des arrêts de complaisance. On peut s’attendre à ce que ces indicateurs baissent. De plus en ayant un personnel plus à l’écoute du client, on peut s’attendre à ce que le chiffre d’affaire augmente.
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