Cas Péladeau
Étude de cas : Cas Péladeau. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anna Sapenyuk • 21 Novembre 2017 • Étude de cas • 353 Mots (2 Pages) • 557 Vues
Pour bien analyser le cas Pierre Péladeau, les deux articles sur les types de leadership ont été complémentaires un à l’autre. En effet, dans le texte de Kets de Vries, on nous explique que la plupart des leaders vont avoir des comportements qui varient entre dramatiques, méfiants, détachés, dépressifs et compulsifs tout dépendamment du contexte et les circonstances. Selon moi, Pierre Péladeau tend beaucoup vers le type de gestion dramatique, qui peut être expliqué par une enfance assez spéciale (mort de son père à l’âge de 10 ans, influence de sa mère sur sa soif de réussite ainsi que la haine/amour envers celle-ci). Il est intéressant de remarquer que Pierre Péladeau semble vouloir attirer l’attention pour sa mère, pour qu’elle soit fière de lui et pour ne pas la décevoir. Ce type de personnes peuvent approuver des sentiments de rage, de colère et se laisser aller à des actes de vengeance, tout comme l’a fait Pierre Péladeau lors de son passage durant le collège; son vengeance consistait d’acheter acheter tous les « riches » de son école.
Selon le texte de Patricia Pitcher, je classerais Pierre Péladeau comme un artiste. Dès le début du cas, on peut remarquer comment il change l’atmosphère avec sa prestation (le débit rapide, les intonations théâtrales et le rire sonore). Selon lui, l’homme a besoin d’agir et de créer et c’est pour cela que sans hésitation, il est capable de rapidement saisir les occasions. Ceci correspond tout à fait à sa vision/philosophie de vivre « 24 heures à la fois ». Tout comme le décrit Patricia Pitcher, Pierre l’artiste ne semble pas très apprécier le style de gestion des technocrates, décrits dans le cas comme les M.B.A.
Pour conclure l’analyse, je trouve ça intéressant que Pierre Péladeau est conscient qu’il peut être impulsif et en même temps motivant. Son style de gestion s’est reflété sur son entreprise lorsqu’il a eu des problèmes de liquidité et avec ses fournisseurs. En se dotant d’une équipe plus hétérogène (association avec Robert Maxwell), l’organisation et sa structure ont évolués radicalement. Ceci permet d’avoir un certain équilibre et d’apprendre de manière continue.
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