Cas CSI
Étude de cas : Cas CSI. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Camille Perrin • 25 Octobre 2018 • Étude de cas • 1 293 Mots (6 Pages) • 3 077 Vues
Camille Perrin
Management cas 8 : CSI - Choisir une structure
- Caractérisez la structure de CSI à ses débuts. Montrez les avantages et les limites d’une tel organisations
C’est une structure hiérarchique, il n’y a qu’une personne qui prend les décisions, et donne des ordres, chaque employé est tenu d’appliquer les consignes de son supérieur direct.
Avant | Après | |
Finalité | Etre pérenne, faire du profit | |
Métier/Vocation | Création d’appli | + Big data et site web |
Nature | Entreprise privée | |
Ressources | Humaine : 4/5 salariées Financière Matériel | 350 salariées CA = 70 M Croissance externe |
Taille | TPE | ETI (grande entreprise) |
Champs d’action Géographique | Nationale | Internationale |
Nationalité | Française |
- Les avantages sont qu’il était possible d’agir par opportunisme au quotidien ce qui permet d’aller vite, donne une impression d’efficacité, donne l’impression de tout maitrisée
- Les limites sont que ce mode de fonctionnement fait perdre de vue les objectifs initiaux, qu’il ne permet pas d’être efficient (optimisation des ressources). Et que ce mode de fonctionnement fonctionne uniquement lorsqu’il n’y a pas peu de salariées, car le jour ou l’entreprise est devenue une PME et a atteint la taille de 12 à 15 salariées, ce fonctionnement n’as plus marcher.
2) Qualifiez la firme CSI à ses débuts à partir des travaux d’AOKI
À ses débuts la firme CSI, selon les travaux d’AOKI était une firme du type « A » car la répartition des tâches était très faible et le mode de fonctionnement fortement hiérarchique et autoritaire. Les ouvriers étaient tenus de respecter des règles strictes de répétitivités en fonction des prescriptions fournies par leur supérieur direct.
Explication :
Aoki est un économiste japonais qui s'est beaucoup intéressé aux mécanismes d’information et a formulé une théorie originale sur l'organisation des entreprises.
Dans ces travaux il identifie deux formes « type » de firmes (qualifiée d'A pour la firme Américaine et de J pour Japonaise)
La répartition du travail dans la firme A se fait suivant des principes de spécialisations rigides, en fonction de standards préétablis : les ouvriers sont tenus de respecter des règles strictes de répétitivités en fonction des prescriptions détaillées qui leur sont fournies par les bureaux des méthodes → la coordination est donc hiérarchique. Une seule personne dirigée et elle ne délègue aucune tache !
3) Relevez et expliquez les questions qui ce se sont posées lors de la croissance de CSI
Lorsque l’entreprise à évoluer, il a fallu embaucher plus de salariées. Les problèmes sont apparus dès que l’entreprise a atteint la taille d’environ 12 à 15 salariés. Un certain nombre de difficultés que Lucie cross, manager arriver à maitriser jusqu’à maintenant ont commencé à prendre une ampleur insurmontable. Elle a alors compris qu’elle ne pourrait plus prendre les décisions seules car elle manque de temps et de compétences, et que si elle ne changer pas de mode fonctionnement rapidement, l’entreprise continuera à perdre de sa créativité, sa réactivité et surtout sa productivité.
Pour changer son mode de fonctionnement elle a dû alors apprendre à déléguer le pouvoir et à mieux coordonnées le travail des uns et des autres. Et surtout associer réellement les collaborateurs aux décisions importantes, pour arriver à ce résultat elle sait poser énormément de question :
Parmi les collaborateurs, combien sont associés aux décision importantes ?
→ Cette question permet de savoir si elle est réellement la seule à décider dans l’entreprise, et se demander si prendre des décisions importantes seules était utile ou non et surtout bénéfique pour l’entreprise.
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