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Comment imaginer de nouveaux rapports aux objets et sortir de « l’aliénation » que l’on à nous humains avec nos objets actuels ?

Étude de cas : Comment imaginer de nouveaux rapports aux objets et sortir de « l’aliénation » que l’on à nous humains avec nos objets actuels ?. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  13 Février 2024  •  Étude de cas  •  872 Mots (4 Pages)  •  171 Vues

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Philosophie : Oral

Problématique : ÊTRE OU AVOIR

Comment imaginer de nouveaux rapports aux objets et sortir de « l’aliénation » que l’on à nous humains avec nos objets actuels ?

Comment sortir d’une certaine manière du fétichisme de la marchandise ?

Dans une époque où la société de consommation vend de l’Art, du rêve, un idéale auquel l’humain est habitué.

Le capitalisme comporte en effet une part abstraite lié cette notion de rêve qui est rendu accessible auprès du consommateur naïf.

On vient adorer de vulgaires produits et les mettre sur un pied destale.

La question est en effet là, pour atteindre un certain bonheur personnel afin d’améliorer le rapport, la relation complexe que l’on a avec les objets.

Il serait nécessaire de venir réinterroger notre approche vers un mode de vie plus durable et moins aliéné par la société de consommation. C’est une approche qui se verrait d’une certaine manière utopique car pour ne pas être fataliste nous sommes dans une dynamique qui va à l’encontre de « l’être pour avoir », nous tendons totalement dans une dynamique de « l’avoir pour être ».

Mais imaginons que nous voudrions chercher des pistes solutionnistes sur la problématique suivante :

Palier la notion de possession, de la propriété individuelle. Le fait de posséder des objets est un des facteurs lié à notre aliénation aux objets marchandises. Si nous ne possédions plus de façon pérenne mais nous possédions de manière éphémère dans façon circulaire, alors nous n’aurions pas la possibilité de créer un fétichisme quelconque autour du produit.

Créer plus des plateformes d’échanges, de troc, de location temporaire mais pas que virtuelle (comme Vinted, Leboncoin). Il faut tendre vers des nouveaux systèmes de brocante, Emmaüs (textile), des salons de partage collectif, pour conscientiser les personnes sur le relationnel et le sens de ses biens propres et les détacher de la possession matérielle.

Détourner la communication, la publicité d’une dynamique de vente frénétique, de vouloir vendre au plus grand nombre le produit. Faire en sorte de mettre en avant le besoin réel, mettre en lumière l’amont du produit finit (la fabrication) et d’appuyer l’expérience humaine de façon sincère par le bai d’entretient vidéo sur le terrain et de rapport établie avec producteurs afin de ne pas juste promouvoir le simple désir d’accumuler un énième objet dont nous n’en avons pas forcément un usage primitif peut -être.

(ex : ASPHALTE - Des fringues qui durent : https://www.youtube.com/watch?v=OHLDJSJ802g)

 

Créer des entreprises qui sont plus petites pour venir relocaliser les produits crées.

Le fait de créer des objets désirables et accessible facilement dans le monde participe au culte de l’objet idolâtré. Peut-être en faisant d’objets mieux conçu et délivrable dans un périmètre restreint permettrait de réduire cette lubie matérielle.  Mais ne pas reproduire le schéma de produits en série limité qui participe à cela en répondant à un besoin de posséder un objet rare et qui répond à une certaine classe sociale.

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