Une Apocalypse pas comme les autres Chapitre Premier
Dissertation : Une Apocalypse pas comme les autres Chapitre Premier. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Nevra 73 • 1 Novembre 2022 • Dissertation • 890 Mots (4 Pages) • 331 Vues
Chapitre premier
Il faisait beau, un grand soleil surplombait la forêt de Tymnam. Cette somptueuse forêt qui dégageait une atmosphère bien à elle, s'étendait à perte de vue.
Mais en s'y approchant de plus près on pouvait apercevoir la seule et unique route goudronnée qui la traversait. Au détour d'un ou deux virages on pouvait remarquer une route de terre qui semblait être souvent empruntée. En s'enfonçant de plus en plus dans la forêt au travers de ce chemin, on perçut au bout de celui-ci, dans un grande clairière un majestueux chalet de deux étages de haut.
Cette bâtisse était la seule à des kilomètres à la ronde, on aurait pu la croire abandonnée si elle n'était pas aussi bien entretenue. Elle etait faites d´un chaine aussi blanc et pur que de la neige. Au dehors de l'édifice, un admirable jardin potager aussi éclatant qu'un rayon de soleil au douze coups de midi y était implanté. Les fruits et légumes qui y poussent sont exquis, des tomates d'un rouge éclatant semblable a des roses, des fraises aussi agréables en bouche que mille baisers de l'être aimé et encore un millier de saveurs que je ne saurais décrire en quelques lignes.
Sur le balcon surplombant ce paysage, de magnifique fleures et plantes, allant de magnifiques jacynthe aux parfum enivrant et aux couleurs de l´arc en ciel a de d'merveilleuse plante exotiques tels que les remarquables lanterne de chine, d´adorable petite fleure orange pendante comme des clochettes.
Elles avaient été mises sous sers pour les protéger des hivers rude que l'on pouvait rencontrer par ici. Ces plantes ajoutent de la magie a ce tout petit balcon, comme un monde à part.
Dites, me croyais vous si je vous disais qu'ici , au sein de ce coin de paradis que la nature nous offre, des échos de rires se faisaient entendre. Ils apparaissent presque comme un renouveau dans ce décor construit au fil du temps. Car oui, dans ce chalet perdu au milieu de nul part, une bande de jeunes vivaient littéralement leurs meilleures vies malgré les horreurs qui se produisait dans le pays, mais ce n´est pas le sujet, laissez moi vous y conter plus tard.
Donc je disais, à l'intérieur du bâtiment, extrêmement propre et bien décoré, se trouvait nos futurs acteurs principaux. Ils étaient dans la salle à manger, grande pièce lumineuse et aérée. Sur les murs était placé de nombreux tableaux fait main ainsi que de nombreuses photos de ces habitants. Les murs etait d´un blanc eclatant contrastant avec les couleurs sombres de la foret que l´on pouvais voir a travers la fenêtre.
Contre le mur opposé à cette fenêtre, se trouvait une grande ouverture donnant sur la cuisine ou un candide petit blondinet à la coupe mullet, toute décoiffé, qui ne devait pas avoir plus de vingt ans, était en train de sortir du four des pommes de terre gratinées au fromage.
Au centre de la salle à manger, se trouvait, assis à table, cinq autres jeunots, tous en train de parler entre eux de tout et de rien,
ça leur arrivait de rire aux éclats entre deux blagues de l´un ou l´autre. L´ambiance qui émane de cette pièce était presque idyllique par rapport à ce qui allait se passer ensuite.
Le jeune blondinet prénommé Anton arriva dans la pièce et deposa le plat au centre de la table, aussi noir que l´ébène, au mileu des acompagnements deja present tels que de la salade verte du jardin, ou des tomates et carottes fraichement ceuillis ce matin.
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