Synthèse sur le sport

SYNTHESE SUR LE SPORT

ATTENTION : J’AI REALISE LES GRANDES PARTIES AVANT L’INTRODUCTION ET LA CONCLUSION.

1. L’effort

1. La peur et la douleur

• L’auteur montre sa peur « Je me trouvais en équilibre instable sur une échelle dans l’obscurité, avancant avec inquiétude d’un barreau tordu à l’autre » , « Un grand sérac s’effondra quelque part au-dessus,tout proche. Je frissonais la gorge serrée » (document 1)

• Raphaël Enthoven exprime sa douleur en comparant ceci à l’enfer « Au début, c’est l’enfer » puis il nous décrit ses douleurs « Les ligaments se tendent, les articulations gémissent, les hanches grincent, le cou craque, les poumons siffles, les poignets brûlent, les genoux s’épanchent, les tendons tiraillent, les lombaires s’affaissent, le cœur s’emballe, chaque pulsation crache un flot d’aiguilles dans le crâne. (document

1. Le dépassement de soi

• Malgrès les différents dangers et la peur de Jon Krakauer, celui-ci surmonte sa peur et  continue tout de même à traverser l’Everest (document 1)

• Jon Krakauer n’a plus conscience de danger autour de lui, il est grisé par le paysage qui l’entoure. « Absorbé par la contemplation des environs et par ma progressions attentive, je me laissais aller au pur plaisir de l’ascension et, pendant une heure ou deux, j’oubliai ma peur » (document 1)

• Haruki Murakami nous dit qu’au bout des 75 kilomètres il avait beaucoup de douleur aux corps « Je suis parvenu de la sorte, en endurant mille maux, aux alentours du kilomètre 75 » (document 3)

• Rocky Balboa s’est entrainé sans cesse pour pouvoir retrouver son niveau d’avant, et remonter sa côte de popularité pour pouvoir affronter Mason Dixon, un grand boxeur. (Document 2)
• Le dépassement de soi pour Raphaël Enthoven intervient « à la première goutte de sueur » : « C’est alors qu’arrive, comme une bénédiction, la première goutte de sueur », puis l’auteur décrit la sensation que lui fait cette goutte de sueur. Il explique que cette goute de sueur dévie l’attention « Sans distraire, la goutte dévie l’attention : c’est en y pensant qu’on finit par s’oublier un peu ». Puis il explique que cela lui fait oublier toutes ces douleurs « La petite goutte inaugure le renoncement, l’abandon salutaire, l’oubli de soi, le retour du corps à l’extérieur. Elle hypnotise la conscience qui, du coup, soustraite à son reflet, redevient conscience de quelque chose. (document 4)  

1. Le réconfort

1. La disparition de l’effort et de la douleur après le dépassement de soi

• Raphael Enthoven dit que son second souffle « mystique » a fait disparaître l’effort et la douleur qu’il avait précèdemment « Vous voila sautillant sans effort, respirant calmement, l’esprit a jeun, la tête et les jambes dans une transe sereine, comme un terrain vague, une page blanche, une rêverie à laquelle aucun détail n’échappe. » Il décrit ce moment comme magique en décrivant un paysage imaginaire « C’est l’heure magique où, sous le voile foncé d’une corde en nylon, le monde et ses formes incongrues vous sautent ) la figure, du dessins de l’eau sur la pierre à la course erratique et presque sonore qu’un papille achève sur une fleur légèrement inclinée… (document 4)
• Après le dépassement de soi, l’auteur dit qu’il était comme dans un état second, qu’il ne ressentait plus aucune douleur « L’épuisement n’était plus pour moi le problème majeur. » , « Mes muscles n’étaient plus alors une assemblée révolutionnaire en plein effervescence, on aurait dit qu’ils s’étaient adaptés à la situation, qu’ils avaient renoncé à se plaindre. (document 3)
• Pendant son combat, Rocky Balboa, se fait dominer par son adversaire mais se montre héroïque car il encaisse d’innombrable coups et se relève plusieurs fois après être allé au tapis, comme si la douleur avait disparu (document 2)

1. Le bonheur

• Rocky Balbao, après avoir fini son combat, malgrès sa défaite, est heureux car celui-ci est acclamé par la foule qui scande son nom et n’a d’yeux que pour lui (document 2)

• Après avoir traversé de nombreux endroits dangereux, l’auteur se trouva toujours sur une cascade de glace dangereuse « Si la cascade de glace était un passage intertain et terrifiant » mais qu’il est rendait heureux par la beauté du paysage « Lorsque l’aube chassa l’obscurité du ciel, un paysage d’une beauté fantastique apparut dans ce chaos de glace. » L’auteur était hynotisé par la beauté du paysage et sa peur a été remplacé par le bonheur « Absorbé par la contemplation des environs…Je me laissais aller au pur plaisir de l’ascension » (document 1)

Introduction

Le sport va chercher la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre. Cette synthèse porte sur quatre documments, le premier est un extrait d’un livre nommé « Tragédie à l’Everest » de Jon Krakauer dont la maison d’édition Presse de la Cité l’a édité en 1998. Le second est une affiche du film « Rocky Balboa » avec Sylvester Stallone en acteur principal. Le suivant est un autoportrait de Haruki Murakami appelé « Autoportrait dde l’auteur en coureur de fond » édité en 2009 par la maison d’édition Belfond. Puis le dernier est un extrait du jounal le Figaro publié en novembre 2010, qui se nomme « Philisophie de la corde à sauter. Quand le sport mène au dépassement de soi » écrit par Raphaël Enthoven. Ces quatres documents cités ci-dessus nous mènes a la problématique suivante dans le sport faut-il toujours se dépasser pour atteindre le plaisir de l’ accomplissement. Pour y répondre, nous allons parler en premier de l’effort puis du réconfort.

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