Le sportif et l'extraordinaire

Synthèse.

     Que cela soit dans un besoin d’un modèle dans le but de s’élever personnellement ou juste d’être émerveiller, l’homme a toujours chercher un modèle auquel s’identifié. Cette idéalisation de l’homme a débutée avec la religion pour s’arrêter à notre époque sur les sportifs de haut niveau. On peut donc se demander comment le sportif a prit la place des religions de manière massive et pourquoi le sportif est élevé au rang de héro ? Nous verrons d’abord comment nous est présenter le sportif et la perception qui en découle, puis dans un second temps nous verrons que cette perception du ‘’sportif héro’’ possède aussi sa par de controverse. Pour nous aider, nous nous appuierons notamment sur le texte « le Battant » tiré du dossier de presser « Héros, d’Achille à Zidane » qui traite des différents aspects de la perception que nous avons du sportif dans son ensemble.

     La perception actuelle que nous avons des sportifs est depuis l’avènement  de la communication de masse, l’image d’un héro ou d’un modèle auquel se référer. En effet le sportif est extrêmement médiatisé dans touts les secteurs, mais c’est surtout la manière dont il est présenter qui le dépeint au final comme un surhomme. Dans le l’extrait de « Héro, d’Achille à Zidane » on nous dépeint le stade comme tant un champ de bataille ou les performances, certes plus que remarquables des sportifs sont mise en scène et élevés au rang d’exploits. Et c’est précisément la que cette médiatisation que ce joue cette attirance pour ces ‘’performances’’. La ou les dieux étaient enviés pour leur puissance et aimé pour leur protection, les sportifs nous attirent par leur exemple de dépassement de soi qui les relèves au rang de surhumain ; Thierry Grillet illustre cela dans « Humain, trop humain ? » par l’exemple du sportif qui trompe la mort, en prenant appuis sur  Lance Armstrong  survivant d’un cancer.

Ainsi un culte de la performance a vue le jour, mais à cela viens s’ajouter le fait qu’a l’inverse d’être un dieu, devenir un sportif est possible pour une immense majorité de personne. En effet si l’on analyse la photo des dieux du stade on y voit un homme, certes idéalise presque selon le modèle antique Grec, mais il reste un homme, hormis ses compétences sportives, il est quelqu’un d’ordinaire. Le récit d’Eric Fottorino « je suis un coureur »  montre que la performance est possible par l’homme ordinaire malgré la difficulté de l’épreuve.

     Ainsi avec cette médiatisation de masse du sportif pour ses performances, ce dernier c’est vue ériger au rang de surhomme.

Les représentations visuelles que nous avons du sportif parlent d’elle-même. Comme évoquer précédemment le sportif est perçu physiquement  selon le modèle de ‘’perfection’’ Grec, les images des « Dieux du stade » sont très explicites sur le physique ‘’divin’’ de ces surhommes et le titre de ces calendriers ‘’Dieu du stade’’ viens lui aussi rajouter au caractère suprême du sportif. Mais par delà son apparence physique le sportif aussi présenté sous un aspect guerrier, « Le Battant » les compare à des aventuriers luttant pour toujours repousser plus loin leurs limites. E.Fottorino exprime clairement se sentiment de combat et de dépassement de soi ultime dans le récit de sont combat contre la cote de la Croix-Neuve, soulignant le tout par l’ovation qu’il reçoit et le sentiment d’accomplissement qu’il reçoit une fois son combat terminé. Ce type de récit, bien que véridique porte encore une fois le sportif sur un rang de surhomme et c’est en grande parti cela qui attire le regard des foules sur ces ‘’guerrier’’, les portant ainsi au rang de demi-dieux.

     Ainsi les sportif sont perçut comme des ‘’demi-dieux’’, mais c’est la que viens se posé le premier problème. Nous avons évoqué comment nous percevons les sportif au travers de leur sur-médiatisation, mais au final nous les voyons seulement de la manière dont ils nous sont présentés. Comme dit précédemment, les sportifs sont dépeints comme des guerriers, mais au final ce sont des hommes avant tout. Mais leur situation a de quoi susciter les convoitises ; tout chez eux nous attire, T.Grillet explique que nous aimons ces champion pour les similitudes que nous avons avec eux, ce sont des êtres ordinaires qui deviennent  hors du commun pour un prestation sportive surmédiatisé et ainsi nous aimons tout d’eux et aspirons a leur ressembler. Pour revenir sur la photo des « Dieux du stade » le modèle qui nous et présenté correspond à un envie sociale d’être beau avec un corps bien battit. Ainsi les sportifs ne doivent pas être perçut comme des héros mais comme des célébrités, a l’instar de celle d’Hollywood. Nous connaissons quasiment tout de leur vie, comme l’exemple de Zinedine Zidane dans « le Battant » présenté comme un sportif de génie et un personne sensible père d’œuvres  caritatives. Ainsi ce que nous aimons cher le sportif c’est qu’il correspond aux critères de la réussite dans la société qui est la notre.

     Cependant cette identification que nous portons au sportif, en étant dans le même temps attiré cette promesse que tout le monde peut être un sportif devient de plus en plus faussée.

En effet si l’on par de principe d’égalité évoquer par T.Grillet dans son texte, il faut prendre en compte que le sport que nous percevons a la télévision, n’est pus totalement le sport réel.

Aujourd’hui les sportif sont sortis des stades et sont présent dans les publicités, dans la chanson et autres formes de produits dérivé.

A l’heure actuelle le sport est une industrie autorisée depuis 1986 par le Comité international Olympique.

Outre le fait que le sport soit devenu une machine économique, la performance reste au centre de l’intérêt de cette médiatisation, mais comme l’évoque le texte « le Battant » cette même performance est dénaturée par le dopage et la pression physique et psychologique que subissent les sportifs. Avant mue par une volonté de dépassement personnel, le sportif va maintenant se doper dans un but lucratif ou d’ascension sociale. T.Grillet explicite en disant que notre identification déjà faussé, seras de plus en plus difficile si la base d’égalité est brisé par des moyen pharmaceutique.

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