Le sport correspond il aux valeurs positives permettant à l’éducation de la jeunesse ?
Dissertation : Le sport correspond il aux valeurs positives permettant à l’éducation de la jeunesse ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar shanezb • 21 Février 2013 • Dissertation • 488 Mots (2 Pages) • 1 760 Vues
Titre /problématique / synthèse
Les trois documents proposés parle de la Coupe du Monde de football qui avait eu lieu en Afrique du Sud en 2010, le fait aussi que les jeux Olympiques ont pris une places considérables mais ont amenés à des dérives. Enfin, les tricheries et le comportements des hommes détruisent la morale.
Dans son essai Pour un humanisme du sport , Yves-Pierre Boulongne rappelle en quoi le sport par le développement des valeurs et les espérences hérite des Jeux Olympiques. Dans un article de le Nouvel Observateur de mars 2011 , Isabelle Monin cherche à comprendre les différences entre les footballeurs et leur victoire en 1998 et les dérives en 1998, à partir du travail du sociologue Stéphane Beaud. Yvon Lézard dans un article de le Monde de 2010 compare la morale du jeu et la morale sociale.
Le sport correspond il aux valeurs positives perlettant à l’éductaion de la jeunesse ?
Tout d’abord nous verrons comment le sport se positionne face à la morale sociale, ensuite si il a réussit sa mission d’éducation , et enfin quelles sont les pressions exercés sur le sport.
Un sport, une morale, une société
Le sport peut-il se confondre ç la morale ?
On peut remarquer à travers 3 textes publiés dans différents journaux l’un Le Nouvel Observateur par Isabelle Monnin qui analyse le l’ouvrage d’un sociologue et l’évolution des joureurs de l’équipe de France depuis 1998 a 2010. Dans un second temps Yves-Pierre Boulongne dans pour un humanisme qufonde le sport sur ce principe d’humanisme et enfin dans le monde de Yves Léziars qui rapporte la différence entre la morale sportive et la morale sociale.
Tout d’abord la morale c’est est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, parfois érigés en doctrine, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. Ils ont souvent pour origine ce qui est positif pour la survie de l'ethnie, du peuple, de la société. Si de tels principes sont en outre positifs pour l'ensemble des ethnies, des peuples ou des sociétés de la Terre, on peut les considérer comme faisant partie de la morale universelle.
On remarque bien que ces trois textes ont une idée en commun c’est la morale et le sport. dans un premier temps Isabelle Monin dénonce le fait que les sportifs de 1998 ne sont plus considérés pareil plus de 10 ans après . Le regard des gens n’étaient pas le même, on y voyait plus le mélange d’éthni plutôt que les joueurs eux-même, d’où ils venaient ect … ou encore le fait que la morale sportive elle passe mieux que la morale sociale qui elle est sanctionné comme le décrit Yvon Liézard dans Le Monde , bi
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