Par quels procédés les auteurs cherchent-ils a rallier leur auditoire a leur cause ?

Verlassen Mathieu                                                                         S4

Corpus

Problématique : Par quels procédés les auteurs cherchent-ils a rallier leur auditoire a leur cause ?        

           Le premier texte, est le Discours sur la peine de mort de Robespierre, qui a été écrit en 1791 il s'agit d'un essai. Robespierre est né en 1758 et est décédé guillotiné,

 en 1794. Il fut l'un des principaux acteurs de la Révolution Française, il prononça ce discours le 30 mai 1791.

Le seconde texte, est un extrait d'un livre de Victor Hugo Le dernier jour d'un condamné écrit en 1832 il s'agit d'un roman. V.Hugo est née en 1802 et est décédé en 1885, il est considéré comme l'un des plus importants écrivain de la langue française. 

Enfin le troisième texte est Réflexion sur la guillotine d'Albert Camus écrit en 1957 il s'agit d'un essai. Albert Camus est née 1913 et est décédé en 1960, il reçoit le prix Nobel de de littérature en 1957.

            Pour commencer, les auteurs expriment tous leurs points de vue concernant la peine de mort, commençons avec Robespierre. Je cite « Je veux leur prouver, que la peine de mort est essentiellement injuste qu'elle n'est pas la plus réprimante des peines, et qu'elle multiplie les crimes beaucoup plus qu'elle ne les prévient » L.5 On peut remarqué l'utilisation du pronom personnel « je »  ce qui permet de comprendre qu'il s'agit d'un texte argumentatif direct.

 Robespierre entend par la que les pays où la peine de mort n'est pas instauré les crimes y sont rares, d'ailleurs on le voit apparaître ici L.28 «  On a observé que dans les pays libres, les crimes étaient plus rares et les lois pénales plus douces » et il conclut sur le fait que « La peine de mort doit être abrogée. » L.35 Robespierre est donc pour l'abolition de la peine de mort.

Continuons avec V.Hugo, ici nous avons une histoire raconter par un personnage il s'agit donc d'une argumentation indirect. L'extrait est en deux temps, la première partie est a l'imparfait, et l'on remarque l'utilisation du Champs lexical de la joie

avec « s'amusait » L.7 « fantaisies » ou encore «  fête » et on retrouve la phrase « j’étais libre » L.13

Puis nous retrouvons une seconde partie au présent, ici on repère un champs lexical de l'emprisonnement «  Maintenant je suis captif. Mon corps est au fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée » L.14

D'ailleurs cette idée est personnifié et omniprésente en « un spectre de plomb seule et jalouse » L.19 Il se retrouve enfermé même dans ses rêves « reparaît dans mes rêves sous la forme d'un couteau » L.25.

Ici Victor Hugo joue sur les sentiments de ses lecteurs pour faire entendre son point de vue, il est clairement contre la peine de mort.

Enfin le troisième textes ,

Albert Camus nous raconte ici une anecdote  familiale, cette histoire est arrivé a son père, qui se rendait a l’exécution d'un ouvrier agricole, le bougre avait tué une famille dans « une sorte de délire de sang » l.4. Son père été choqué et souhaitais assister a son exécution. Il rentra dans la soirée sans dire un mot, puis ce mit a vomir. Camus nous raconte cette histoire pour nous faire comprendre que la peine de mort est un ace monstrueux, car elle a pur but de nous proteger mais semble en réalité nous détruire. Il utilise l'ironie, pour appuyez a sa polémique il parle de « suprême justice », qui est censé protéger l'homme fait mais qui le brise en realité,la peine de mort est donc un acte immonde qui doit être aboli.

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