Texte libre

Il y des moments où on fond en larmes

dans notre chambre,

et on se rend compte que personne

ne comprend notre malheur.

Et c’est dur tu sais ?

C’est dur de pleurer tout les soirs.

De n’avoir personne à ses côtés.

C’est dur de porter un masque,

de sourire, de rire, de jouer des rôles.

Qui suis-je vraiment ?

Même moi je ne saurais pas répondre.

Dans ma tête c’est le vide,

et dans mon cœur c’est la crise.

Mais la seule chose dont je suis sûre,

c’est que je t’aime.

Mais pas d’un amour normal

d’un amour profond et sincère.

Putain c’est tellement dur,

si tu savais…

Prends ma main, sers la fort

et dis moi que tout ira bien…

MJ.

-----------------------------------------------------------------

Durant ces nuits froides,

tu n’étais pas là.

Et à vrai dire,

je ne l’étais pas non plus pour toi.

Tout est allé si vite,

et à la fois si lentement.

Les souvenirs m’assaillent,

et cela même s’ils deviennent de plus en plus

flous,

je dirais même que cela empire.

Oublier, t’oublier,

mais pourquoi ?

Comment t’oublier si sans cesse tu es là ?

Alors je n’oublie pas.

Mais,

ton sourire, ta voix dans ma tête se dissipent

comme un nuage qui,

peu à peu s’éclipse…

MJ.

------------------------------------------------------------------------------------------

Je ne m’attends pas à ce que tu me répondes, mais cela me pèse depuis plusieurs mois maintenant, que ça me fait beaucoup trop de mal, que ça ne passe pas et peut-être que parler apaisera un peu la douleur.

D’un côté j’espère que tu liras quand même et que tu prendras conscience de ce que je ressens.

Depuis que je t’ai laissé partir, c’est un bout de moi qui s’est enfui.

Je pensais que cela passerai avec le temps mais apparemment non.

Je t’ai aimé tellement fort que ça me bouffe chaque jour un peu plus, j’ai perdu quelque chose que je ne pourrai plus retrouver chez quelqu’un d’autre.

Avec toi tout était différent, je m’en rends compte seulement lorsque c’est trop tard, c’est ce qu’on dit souvent, qu’on s’en rend compte une fois que c’est terminé.

J’aurai aimé que le trop tard n’arrive jamais, chacune de mes pensées est tournée vers toi sans même que je ne m’en rende compte.

Tu me manques, mais pas seulement quand je suis seule le soir ou quand je repense à nous.

Tu me manques constamment, à chaque minute qui passe et c’est horrible parce que le vide hurle constamment ton nom, et ça depuis la première seconde.

Ça vient comme des vagues, certains jours c’est violent, parfois plus calme mais ça ne part jamais.

J’aurai ailé que ce vide ne soit pas que de mon côté, que tu comprennes ce que ça fait d’être celui qui reste et qui continue d’aimer.

Je voudrais juste me réveiller, un de ces jours où tout aillait encore bien, où tu m’aimais, où je t’aimais, où j’étais vivante, en sécurité et où rien ne pouvait m’arriver.

Je voudrai retourner au temps où tes bras étaient encore ma maison, le seul endroit où je pouvais me reposer sans craindre quoique ce soit, me réveiller à un temps où tu étais encore là, lorsque le « nous » existait encore.

Tu sais, je n’exagérais pas quand je disais que j’aurai pu t’aimer toute ma vie. T’aura beau trouver qui tu veux, être heureux, personne ne t’aimera plus que j’ai pu le faire.

M.J

------------------------------------------------------------------------------------------

On se dit « je t’aime »

comme un mot simple.

On se dit « je t’aime »

pour un rien envers quelqu’un.

Mais en réalité, aurais-tu oublié le sens

véritable de ce mot ?

Aurais-tu oublié

que la première fois où je t’ai ça

mon cœur battait ?

Tu m’aurais chercher

pendant la nuit sombre

alors que je n’étais pas là.

Pendant des heures dans le noir

mais aujourd’hui,

tu as oublié le sens véritable

du « je t’aime » que je te disais.

M.J

------------------------------------------------------------------------------------------

Tu t’en remettras

de

...