Suis-je Une Citoyenne Inutile

Suis-je une citoyenne inutile ?

Parue dans Le Soleil le 4 février 2002, « Le ministre du citoyen inutile», une chronique de Jean-Simon GAGNÉ, journaliste reconnu pour ces prises de position. Il dénonce un système de santé déficient et de l’injustice sociale. En tant que citoyenne avertie, j’endosse sa critique sur le système de santé et ces dirigeants, sur sa mauvaise gestion et des impacts négatifs qui en découlent sur la population.

Dès le début, M. GAGNÉ dénonce le manque de rigueur dans le domaine de la santé. Que se soit par l’appellation du ministère de la santé ou les ministres qui y on siégé, le système est souffrant.

De ce fait, ce n’est pas juste les malades, les fumeurs ou les obèses qui font que notre système de santé est hypothéqué. En effet, cela dure depuis au moins 20 ans selon M. GAGNÉ. Une obligation sociale de bien s’alimenter pour être en santé au lieu de simplement vivre en santé.

Voilà qui résume une problématique ministérielle populaire déjà en difficulté, qui veut que l’inactivité physique, la sédentarité ou encore l’insouciance soit la raison de tous les maux d’une société et sans oublier les 2,1 milliards de dollars en coût indirects.

Certains docteur, comme Kellogs ont poussée l’audace jusqu’à affirmé que viande et poisson étaient des aliments à proscrire. Le végétarisme est aussi une déviance peu commune mais qui se repend. Dans cet ordre d’idée, le genre humain doit bannir de son alimentation tout aliment susceptible de stimulés les papilles gustatives, qu’ils mangent trop et qu’ils sont trop bedonnant. D’autre eux, adopte des lois qui régissent la quantité du contenu d’un garde-manger.

Visiblement, Jean-Simon GAGNÉ cherche à secoués ses lecteurs par le ton utilisé. Cet article reste accessible à tous, de sorte que, malgré l’utilisation de la langue populaire (Ça fait…), tout le monde y trouve son compte. Même s’il fait référence au communiqué du Collège des médecins concernant la mort de 21 000 personnes dû à l’inactivité physique, cette partie est selon moi incomplète, en effet, elle manque de profondeur. L’auteur se contente de rapporter des faits importants, il aurait eu avantage à démontrer avec l’aide de médecin généraliste que la liste de patients souffrants d’obésités ou de manque d’activité est longue. Malgré une gestion accrue des hôpitaux le personnel reste insuffisant pour orienter ces patients. Il n’en reste pas moins, que les critères de sélections pour l’admissibilité des gens à des programmes dirigé par les gouvernements sont très controversés.

Ensuite, l’auteur, avec une ironie hors du commun, laisse percevoir une quête personnelle envers le faible système de santé. En effet, il est très difficile de laisser pour contre les propos désobligeant du dictateur roumain. Un argument choc qui selon moi, dénonce les excès d’un gouvernement désorganisé. Après tout, les plus fortunés peuvent bénéficier de professionnel de la santé en autant que ceux-ci paye. A vrai dire, ces clients et non ces patients paye de 5% à 10% plus cher pour une consultation dans un délai maximum de 48 heures. De ce fait, le gouvernement québécois à même voulu un certains moment de notre histoire essayer d’imposer

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