Siècle des lumières

Question : en quoi candide est un conte philosophique. 

Séance 1 : le siècle des lumières

1. Nous pouvons dire que le siècle des lumières est un mouvement culturel à la suite de multiple échange d’information et la création de recueils, de plus les philosophe des lumières ont révolutionné le niveau intellectuel.
2. Le mouvement des lumières se passe durant le XVIIIème siècle et vas durer de 1715 à 1789 durant le règne de Louis XIV
3. L’homme à toujours suivie la lumière il veut donc la devenir en mettant fin à l’obscurantisme grâce à la philosophie.
4. Non c’est un mouvement intereuropéen.
5. À la suite de la révolution de 1688 la Grande-Bretagne possède alors une liberté d’expression accrue.
6. Les quatre facteurs favorables à la naissance des lumières sont :

• La révolution pacifique de Grande-Bretagne
• La crise de la conscience européenne avec la communication
• L’évolution de la science et de la recherche médical
• L’opinion publique

Séance 2 : l’incipit du conte philosophique

Consigne : après avoir lu les textes suivants, expliquez dans un paragraphe argumenté en quoi le premier chapitre de Candide est le début conte philosophique

Nous verrons en quoi consiste un conte philosophique et en quoi le début de l’œuvre de Voltaire « Candide » est l’incipit d’une œuvre philosophique.

Un conte est caractérisé par différents systèmes il se passe tout d’abord dans une époque intemporelle, de plus ces romans sont obligés de suivre un schéma narratif ce caractérisant par une situation initiale où le personnage est dans une parfaite posture, puis le personnage vas être désorienté à la suite d’un élément perturbateur, pour donner suite à cela le personnage va avoir des péripéties puis un dénouement et la situation final. Le conte philosophique va aussi avoir un schéma narratif similaire, mais au XVIIème la philosophie devient une représentation du savoir et des valeurs morales, ce que le personnage va apprendre aux lecteurs. Malgré cela certaines données du conte sont alors détournées au profit de la satire. La plupart des personnages sont avec une intelligence qualitative et noble provenant de la haute cour. Les contes philosophiques ont comme projet d’expliquer le monde qui entoure et de défendre une thèse les lecteurs mais au préjudice de la règle d’atemporalité.

Dans l’œuvre de Voltaire nous pouvons remarquer la présence d’un schéma narratif avec la situation initiale « tout est au mieux » (ligne 38) exprimant que le jeune Candide se porte au mieux de sa forme, Par suite de cela nous pouvons constater l’élément perturbateur « chassa Candide du château à grand coup de pied dans le derrière ». Nous pouvons remarquer qu’à travers le mot « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie » Voltaire nous force à découvrir ce mot avec trois notion la métaphysique, la théologie et la cosmologie qui trois sciences très savantes et finit par le mot nigologie qui est tiré du mot nigaud il parle donc de la bêtise et déstructure alors toute la phrase en lui faisant perdre son sens. Il donc à travers cette phrase nous dire qu’il ne faut pas croire a tout ce qu’on voit. Nous pouvons remarquer différente chose telle que candide est entouré d’individu de la haute cour ou de protagoniste savant.

En guise de conclusion nous pouvons exprimer que l’incipit de l’œuvre de voltaire est le début d’une œuvre philosophique et donc que Candide est une œuvre philosophique.

Séance 3 : le titre.

Objectif : comprendre le titre de l’œuvre

Candide :

• Adjectif
• Naïf
• Par dérivation grammatical candide devient un nom

• Le candide
• Candide

Conclusion : le titre ne veut pas simplement expliquer le livre mais se veut utile pour débuter et mettre dans l’ambiance le lecteur

Séance 4 : chapitre 3 de candide

Objectif : lecture analytique du chapitre 3

Candide présente la confrontation comme un spectacle

Les différentes figures de styles :

• Comparaison : « comme un philosophe »
• Antithèse : « harmonie » et « enfer » mais aussi
• Oxymore : « boucherie héroïque »

But de cette parie de texte : critique de la guerre.

Chaque adjectif donné alors dans une énumération et accompagné d’un adverbe d’intensité : « si » démontrant le paroxysme de l’élégance de la scène.

Ce morceau fait penser à un ballet ou une fanfare.

Candide fait allusion à l’enfer avec :

• Le bruit des canons
• Les morts

Le narrateur donne les nombres bruts des armes de plus il ne prend pas en compte la vie humaine. Chaqu’un de ces sujets sont les armes. Cela donne l’impression que d’après lui la guerre se fait sans homme, il rabaisse alors les hommes et les déresponsabilisent de leurs actes.

En utilisant les termes « infecté » et « coquin » rabaisse les guerriers comme s’il participé à un « acte chirurgical » pour ce débarrassé de certaine personne.

Dans la deuxième parie du texte Voltaire ironise avec les deux rois qui tous les deux font sonner le « te deum » pensant avoir gagné il n’y a donc aucun perdant, grâce à cela il se moque de la royauté et donc de la représentation de dieu sur terre. Dans le passage suivant le narrateur nous décrit les différents villages touchés par la guerre. Dans les vocations de Voltaire, il nous présente un village de chaque camp pour nous montrer une égalité dans la cruauté des hommes avec des pertes dans les deux camps au niveau des la population civils, car il parle des vieillards, des femmes, des enfants et des jeunes filles. Mis en avant dans le texte par, les douleur subit. Voltaire va utiliser pour les personnages un euphémisme : « besoins naturels » là il fait allusion aux viols, mais aussi il présente le viol comme une satisfaction d’un besoin naturel, il le rend normal a nos yeux. Dans cette partie de texte il y a une progression du niveau de barbarie car les trois groupes présentés sont innocent car ils ne font pas la guerre, cela crée un effet de dramatisation tout en évoquant les faits sobrement mais avec des adjectifs nous permettant de  nous représenté la scène : « égorger », «les enfants a la mamelles sanglantes », « éventrer » ; cela bous montre l’évocation du rouge mais aussi avec les termes : « d’autre à demi brulés » ayant comme couleur le noir, avec les termes « les morceau de cervelle éparpiller » et « les bras et les sjambes coupé »allant alors à l’encontre de la présentation dans la première partie du chapitre, mais tout en égalisant les deux camps. A ce moment la Candide va pour la première fois découvrir l’horreur mais sans oublier Cunégonde, il n’est donc pas encore totalement déconnecté de son ancien monde et de son optimiste.

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