Préface Tempus Fugit
Documents Gratuits : Préface Tempus Fugit. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar krakrr • 2 Juin 2013 • 699 Mots (3 Pages) • 3 933 Vues
La poésie est une des plus belles manières d'expressions artistiques avec le dessin, la danse et la musique. Elle est présente partout autour de nous, mais il faut lui accorder une grande attention pour d’instiguer le sens d'une poésie et comprendre les sentiments du poète. Elle est le fruit d'un long travail basé sur l'expérience personnel et les rêves du poète, qui nécessite également beaucoup d'inspiration, et une maîtrise parfaite de la langue.
Si j'aime tout particulièrement cet art, c'est sans doute pour sa beauté et les sentiments que l'on peut ressentir quand on lis une poésie. J'aime beaucoup l'art dans toutes ses formes, qu'il soit peinture, musique, ou poésie.
J'ai choisi le thème de la fuite du temps car j'aime le fait que ce soit un sujet qui nous concerne tous mais que personne ne peut éviter. N'importe qu'elle personne au cours de sa vie c'est rendue compte à quel point le temps passe et s'écoule. Et cependant on ne peut l’arrêter, c’est une chose qui nous échappe et qui perturbe un grand nombre de personnes, à tel point que certaines personnes et plus précisément dans notre sujet, certains poètes, en deviennent malade. L'âge qui augmente suit cet écoulement du temps, il précipite la fin de toutes choses, vers la mort. La mort, celle si redouté, celle qui pétrifie.
Ce sont les poètes du XIXe siècle s'inscrivant dans le mouvement romantique qui on développés profondément ce thème, notamment Alphonse de Lamartine avec Méditations poétiques.
L'expression « Tempus fugit » est une expression latine qui signifie mot à mot « le temps fuit ». Cependant elle plutôt traduite comme « le temps passe vite ». Elle exprime la préoccupation du peu de temps que l'on dispose.
L'expression provient des Géorgiques, œuvre du poète romain Virgile: « Sed fugit interea tempus fugit irreparabile, dum singula amore capti circumvectamur », ce qui signifie: «Mais en attendant, il fuit: le temps fuit sans retour, tandis que nous errons, prisonniers de notre amour du détail».
Les poètes ne réagissent pas tous de la même manière à cet obstacle :
Certains réagissent en consommant la vie, en la « croquant à pleine dents ». Cette réaction est résumée par l'expression du poète romain Horace au Ier siècle av. J.-C dans Odes : « Carpe diem » (« Cueille le jour »), c'est-à-dire : « Profite du temps présent ».
Il faut boire, manger et s'amuser en cette vie, car cela ne sera plus possible après la mort. C'est souvent l'homme qui invite la femme qu'il aime à profiter du temps présent, et à répondre à son amour. Ronsard a repris ce lieu commun dans des poèmes célèbres. (cf. Quand vous serez bien vielle.)
Certains réagissent par une détresse : « Fugit irreparabile tempus » (« le temps s'enfuit, de façon irréparable ».) écrivait Virgile dans les Géorgiques, Ier siècle av. J.-C. Villon a exprimé la détresse devant la mort dans son long Testament, en reprenant le thème médiéval de « l'Ubi sunt qui ante nos fuerunt » ? (« où sont passés ceux qui nous précédèrent ? » dans Ballade des dames du temps jadis. Le poète et homme que « la peur de la mort » tourmente se rassure
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