François Hollande
Commentaire d'oeuvre : François Hollande. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar 55555 • 6 Mai 2015 • Commentaire d'oeuvre • 1 716 Mots (7 Pages) • 560 Vues
Critiquée, notamment par des élus de droite, François Hollande a réaffirmé, mercredi 6 mai, son soutien à la réforme du collège lors d’un discours devant des jeunes au Conseil économique, social et environnemental (CESE).
« J’entends le concert des immobiles, ce sont souvent les plus bruyants, ceux qui, au nom de l’intérêt général supposé, défendent leurs intérêts particuliers. »
« Eh bien, non, c’est terminé », a fait valoir le chef de l’Etat, au jour du troisième anniversaire de son élection. M. Hollande a insisté notamment sur l’enseignement des langues vivantes. Parmi le concert de critiques, d’aucuns estiment que ce projet menace l’apprentissage de l’allemand, ce que le président a nié.
« Pour ceux qui veulent apprendre l’allemand, ils pourront l’apprendre dès la cinquième et, s’ils le choisissent en première langue, dès le cours préparatoire. »
Le projet, porté par la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, prévoit la suppression des classes bilingues, avec, en compensation, l’introduction de la « LV2 » dès la cinquième.
Car, derrière l’apparente bonne nouvelle d’une deuxième langue enseignée un an plus tôt, les défenseurs de l’allemand voient poindre la remise en question des « bilangues », ces sections qui permettent d’apprendre deux langues dès l’entrée au collège. Idem pour les classes européennes (un élève sur dix en troisième). Certains enseignants, parmi lesquels des germanistes, dénoncent « les conséquences désastreuses » des mesures programmées pour la rentrée 2016 quand ils ne pronostiquent pas, purement et simplement, la « disparition de l’allemand ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/education/article/2015/05/06/francois-hollande-au-secours-de-la-reforme-des-colleges_4628970_1473685.html#KwjJDWtX112jjP1m.99Critiquée, notamment par des élus de droite, François Hollande a réaffirmé, mercredi 6 mai, son soutien à la réforme du collège lors d’un discours devant des jeunes au Conseil économique, social et environnemental (CESE).
« J’entends le concert des immobiles, ce sont souvent les plus bruyants, ceux qui, au nom de l’intérêt général supposé, défendent leurs intérêts particuliers. »
« Eh bien, non, c’est terminé », a fait valoir le chef de l’Etat, au jour du troisième anniversaire de son élection. M. Hollande a insisté notamment sur l’enseignement des langues vivantes. Parmi le concert de critiques, d’aucuns estiment que ce projet menace l’apprentissage de l’allemand, ce que le président a nié.
« Pour ceux qui veulent apprendre l’allemand, ils pourront l’apprendre dès la cinquième et, s’ils le choisissent en première langue, dès le cours préparatoire. »
Le projet, porté par la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, prévoit la suppression des classes bilingues, avec, en compensation, l’introduction de la « LV2 » dès la cinquième.
Car, derrière l’apparente bonne nouvelle d’une deuxième langue enseignée un an plus tôt, les défenseurs de l’allemand voient poindre la remise en question des « bilangues », ces sections qui permettent d’apprendre deux langues dès l’entrée au collège. Idem pour les classes européennes (un élève sur dix en troisième). Certains enseignants, parmi lesquels des germanistes, dénoncent « les conséquences désastreuses » des mesures programmées pour la rentrée 2016 quand ils ne pronostiquent pas, purement et simplement, la « disparition de l’allemand ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/education/article/2015/05/06/francois-hollande-au-secours-de-la-reforme-des-colleges_4628970_1473685.html#KwjJDWtX112jjP1m.99Critiquée, notamment par des élus de droite, François Hollande a réaffirmé, mercredi 6 mai, son soutien à la réforme du collège lors d’un discours devant des jeunes au Conseil économique, social et environnemental (CESE).
« J’entends le concert des immobiles, ce sont souvent les plus bruyants, ceux qui, au nom de l’intérêt général supposé, défendent leurs intérêts particuliers. »
« Eh bien, non, c’est terminé », a fait valoir le chef de l’Etat, au jour du troisième anniversaire de son élection. M. Hollande a insisté notamment sur l’enseignement des langues vivantes. Parmi le concert de critiques, d’aucuns estiment que ce projet menace l’apprentissage de l’allemand, ce que le président a nié.
« Pour ceux qui veulent apprendre l’allemand, ils pourront l’apprendre dès la cinquième et, s’ils le choisissent en première langue, dès le cours préparatoire. »
Le projet, porté par la ministre de l’éducation nationale, Najat Vallaud-Belkacem, prévoit la suppression des classes bilingues, avec, en compensation, l’introduction de la « LV2 » dès la cinquième.
Car, derrière l’apparente bonne nouvelle d’une deuxième langue enseignée un an plus tôt, les défenseurs de l’allemand voient poindre la remise en question des « bilangues », ces sections qui permettent d’apprendre deux langues dès l’entrée au collège. Idem pour les classes européennes (un élève sur dix en troisième). Certains enseignants, parmi lesquels des germanistes, dénoncent « les conséquences désastreuses » des mesures programmées pour la rentrée 2016 quand ils ne pronostiquent pas, purement et simplement, la « disparition de l’allemand ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/education/article/2015/05/06/francois-hollande-au-secours-de-la-reforme-des-colleges_4628970_1473685.html#KwjJDWtX112jjP1m.99Critiquée, notamment par des élus de droite, François Hollande a réaffirmé, mercredi 6 mai, son soutien à la réforme du collège lors d’un discours devant des jeunes au Conseil économique, social et environnemental (CESE).
« J’entends le concert des immobiles, ce sont souvent les plus bruyants, ceux qui, au nom de l’intérêt général supposé, défendent leurs intérêts particuliers. »
« Eh bien, non, c’est terminé », a fait valoir le chef de l’Etat, au jour du troisième anniversaire de son élection. M. Hollande a insisté notamment sur l’enseignement des langues vivantes. Parmi le concert de critiques, d’aucuns estiment que ce projet menace l’apprentissage de l’allemand, ce que le président a nié.
« Pour ceux qui veulent apprendre l’allemand, ils pourront l’apprendre dès la cinquième et, s’ils le choisissent en première langue, dès le cours préparatoire. »
Le projet, porté par
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