Essai fantastique

 
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        C’était une journée orageuse et nuageuse je trouvais ça tellement triste que je me disais que là meilleur chose à faire était une bonne partie de cache-cache. Je fis alors part de mon idée à ma cousine qui était emballée. Elle n’avait même pas commencé à compter que j’étais partie comme une furie me cacher dans la vieille cave de ma grand-mère. J’ouvris la porte menant au sous sol et me retrouvais dans un placard à balai sombre et poussiéreux. M’étais-je trompé de porte? Étais-je en pleine hallucination?

Et soudain « aïe » une saleté de serpillière me tomba sur la tête. Alors que je reprenais mes esprits une voix s’écria

 « Parbleu! Que faites-vous ici ? De qui vous cachez vous ? »

 « Excusez moi je n’ai pas fais attention ou j’allais, je suis en pleine partie de cache-cache avec ma cousine euh a qui ai-je l’honneur ? »

« Oh oui j’en ai oublié de me présenter Roberto un balai espagnol pour vous servir et je ne suis pas tout seul ! »

Une petite voix s’écria alors ´il y’a moi aussi je suis Isaure l’escabeau

«  Oh ! enchantée moi c’est Armelle »

«  Eh ! M’oubliez pas Joséphine la serpillère qui vous a assommé tout à l’heure j’espère que je ne vous ai pas fais trop mal je suis désolée j’ai pris l’habitude de me défendre »

 « Youyou vous avez failli m’oublier moi »

 « Oh non pas Ombeline »

Roberto me murmura à l’oreille que c’était une pelle à poussière très bavarde

 « Bonsoir mes très chères compatriotes! Je me présente je suis Ombeline une pelle à poussière très compétente c’est un honneur de vous recevoir en ce jour dans ma majestueuse demeure quel plaisir !… »

 «  TAIS TOI ON S’EN MOQUE! » criaient tous ces personnages.

« Veux-tu faire une partie de cartes avec nous ? » me demanda Isaure.

 « Oh !mais volontiers ! »

 Nous commençâmes alors a distribuer un magnifique jeu de carte datant du 19eme siècle Nous n’avions même pas termine notre deuxième tour qu’une voix m’interpella, c’était ma cousine ! Quel dommage j’aurai voulu rester plus longtemps avec mes nouveau amis je leur saluai et partis de ce grand placard a balai
Soudain j’ouvris les yeux et je me retrouvais dans mon lit. Que c’est il passé? Et ma partie de carte ? Je ne me remettais pas que je venais de jouer a la bataille corse avec un balai, une pelle a poussière, un escabeau et une serpillère. Toute cette histoire était donc un rêve ? Mais je ne m’abandonnais pas l’idée qu’il y’avait mes amis Roberto Isaure Ombeline et Joséphine dans le sous sol de ma grand mère.

 Le soleil venait de se lever et je décidai alors de faire un petit tour dans la cave. Je descendis l’escalier a pas de loups et je marchais jusqu’à la cave silencieusement je pris la poignée et avant d’ouvrir je fermai les yeux, je m’aventurai dans la salle (ou bien le placard a balai je n’en savais rien) j’ouvris mes globes oculaires pleins d’espoir lentement et je me retrouvais seul au milieu de la cave de ma grand mère je dois vous avouer que je me sentais un peu bête. Déçue, je me retournai et ferma la porte, quel dommage! Mais en regardant la poignée de plus près je me rendis compte qu’un écrit était apparu : «  si tu nous cherches nous sommes dans tes rêves » que pouvait bien signifier cette énigme ? Mes acolytes ménagers apparaissaient seulement dans mes songes ? Je décidai alors d’attendre la journée et de voir si cette nuit je reverrai mes amis. Le soleil couché je m’installai dans mon lit et je m’endormi vite.

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